blague poitrine

Le décolleté de la blonde

C’est une blonde qui est invitée à une soirée chic. Elle veut se faire belle, alors elle essaie un tailleur et elle harcèle le vendeur :
– Dites, vous ne trouvez pas que ça me fait un gros cul ?

L’autre :
– Non, non, non, je vous assure, de toute façon, on n’y peut plus rien, c’est pas…
– Ah ouais, mais là, quand même ! Vous ne pouvez pas me mettre des pinces ? Et là, vous ne trouvez pas que le décolleté est trop profond ?
– Le décolleté est trop profond ?
– Moi, je trouve !
– Attendez…

Alors le mec se penche un peu, il regarde et il fait :
– Excusez-moi, vous avez des poils sur la poitrine ?
– Ah non, non, pas du tout.
– Alors vous avez raison : le décolleté est trop profond.

Le drôle de prix des seins

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Sur une plage en été, un vieux monsieur vient se planter devant un super canon en monokini et lui dit :
– Laissez-moi vous toucher les seins !
– Dégage vieux pervers, lui répond la fille
– Je veux vous toucher les seins ! Je vous donnerai 20 euros !
– Vinght euros ?! Ça va pas non ? Pour qui tu me prends vieux débris ?
– Laissez-moi palper vos seins et je vous donnerai 100 euros !
– Non ! Dégagez de là !
– Et si je vous offre 200 euros ?

La fille marque une pause, réfléchit, et répond :
– Non, j’ai dit non !
– Je vous donnerai 500 euros !

Alors la fille se dit: il est vieux, il semble inoffensif… je vais prendre les 500 euros ! Et elle lui répond :
– Bon, c’est d’accord, mais seulement 30 secondes.

Alors le vieux s’approche d’elle et prend les deux beaux seins de la fille dans ses main, et tout en les malaxant, il commence à psalmodier : « OH MON DIEU… OH MON DIEU … OH MON DIEU… »

La fille au bout d’un moment lui demande intriguée :
– Dites, pourquoi vous n’arrêtez pas de dire « OH MON DIEU »

Et le gars, tout en continuant à triturer les nichons répond :
– OH MON DIEU… OH MON DIEU… OH MON DIEU…., où vais-je trouver 500 euros ?

Le restaurant routier avec des chambres garnies

Dans un restaurant de routiers où les serveuses ont coutume de « monter » avec les clients, un conducteur de poids lourd dit à la jeune femme qui vient de quitter son tablier blanc et sa robe noire pour s’allonger près de lui :
– Tu vois, je ne regrette qu’une chose : c’est que ta poitrine ne soit pas aussi ferme que le bifteck que tu m’as servi il y a une demi-heure.