blague pesée

La blague de la pesée du bébé Belge

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L’histoire se passe dans un petit village de Belgique.

La femme du boucher du village est enceinte depuis 8 mois et le boucher, bon vivant, décide d’organiser un concours :
« Le client qui devine le poids que le bébé à la sortie de la maternité gagnera son propre poids en viande de premier choix. » Tous les clients participent et on attend la naissance impatiemment.

Le bébé naît, et cinq jours plus tard il sort de la maternité avec maman, tout le monde est en pleine forme.

Le boucher fait venir son commis et lui confie le chérubin pour la pesée publique. Une heure passe et pas de nouvelles du concours…

Le boucher, excédé, appelle la boucherie :
– Bon,mais alors, qu’est-ce que tu fabriques ? tu en mets du temps pour peser ce bébé ! Il y a des ex-aequo ou quoi ?
– Ben non, patron, mais il fallait le temps de le désosser !

Le boucher malhonnête

– Je me demande, dit à son époux, une dame qui vient de faire ses courses, si notre boucher est vraiment honnête.
– Pourquoi te poses-tu cette question ?
– Au moment où il s’apprêtait à peser mon rôti de veau, il a fait tomber son crayon à bille sur le plateau de la balance. Et, d’un coup, l’aiguille est passée de 1,300kg à 1,700kg.

Du poids des choses

Qu’est-ce qui pèse
…250 kilos le matin
…100 kilos le midi
… et 5 kilos le soir… ?

Réponse : LE MARI !
…quand sa femme le matin lui dit : « lève toi mon gros..! »
le midi, elle lui dit : « viens manger mon cochon ! »
Et… le soir au coucher : « Viens t’coucher mon lapin ! »

Une religion qui balance

Une petite fille demanda à sa grande sœur en lui montrant la balance.
– Est-ce que ceci a un rapport avec la religion ?
– Pourquoi cette question ?
– Chaque fois que maman monte là-dessus elle crie : « Mon Dieu ! Mon Dieu ! »

Quel jour doit-on se peser ?

Une dame replète, qui se tracasse beaucoup pour sa ligne, raconte :
– Moi, je ne me pèse que les jours où tout marche de façon épouvantable : quand j’ai cabossé la voiture familiale, ou quand mon fils a rapporté une mauvaise note de conduite, ou encore lorsque j’ai laissé brûler le gigot, le soir où le patron de mon mari vient dîner.
– Et pourquoi vous pesez-vous, justement ces jours-là ?
– Parce que c’est le seul moment où j’ai le courage de regarder le poids indiqué sur la balance en me disant qu’au point où en sont les choses, de toute façon, ça ne peut pas être pire.