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La peinture surréaliste

La scène se déroule dans une galerie de peinture japonaise. La foule est venue assister au vernissage d’une grande exposition d’un peintre surréaliste. Mais il n’y a dans la salle, en tout et pour tout, qu’une seule toile. Elle représente à l’orée d’une forêt, un petit chemin qui s’enfonce vers l’horizon. Et voici qu’un des spectateurs, un peu intrigué, s’approche du maître et lui demande :
– Votre toile est très belle, mais à vrai dire, je voudrais bien savoir ce qu’elle a de surréaliste.
– Eh bien, dit l’artiste, c’est très simple.

Et devant les spectateurs médusés, il s’engage dans le petit chemin, il marche, il marche, il marche et il disparaît.

Pourquoi la peinture contemporaine ?

Une directrice de galerie de peinture invite un célèbre peintre contemporain.
– Voyez-vous, maître, annonce-t-elle en l’accueillant, j’ose vous avouer que j’ai acheté plusieurs de vos toiles mais je n’y comprends rien.
– Eh bien moi, réplique le maître, je n’ai jamais compris pourquoi mes toiles se vendaient

Le 4×4 de Toto

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Devant la cour de l’école, Toto voit une voiture garée, avec le sigle « 4×4 ». Il se dit : « Les gens ont oublié de marquer le résultat de cette opération ». Il prend une pointe et gratte la réponse sur la voiture : « = 16 ».

Le propriétaire, furieux et ne connaissant pas le coupable, fait repeindre sa voiture.

Dans les jours qui suivent, Toto revoit la voiture et refait la même chose.

Le propriétaire, excédé, dit au peintre d’écrire en face du logo « 4×4 », la réponse « = 16 », pour avoir la paix.

Toto, tout content de voir sa préoccupation enfin prise en compte, écrit avec une pointe au bas de l’opération : « Très Bien, 10/10 ! »

Pique-nique artistique

En promenade à la campagne, un artiste-peintre a planté un chevalet en plein milieu d’une verte prairie et barbouille avec ardeur. Non loin de là, des touristes se préparent à pique-niquer. C’est alors qu’un petit garçon s’approche du peintre et lui dit :
– À votre place, je me méfierais de ces gens-là. Je viens de les entendre dire qu’ils voulaient casser la croûte.