blague peinture

La blague du mât fou

Le directeur d’un hôpital psychiatrique, content de ses pensionnaires, décide de leur offrir à tous un cadeau, dans le domaine du possible. Le premier des malades vient et dit :
– Est-ce vrai que l’on peut demander ce que l’on veut et qu’on l’aura ?
– C’est vrai, mais dans la limite du possible, annonce le directeur, que voulez-vous ?
– Eh bien, je voudrais un grand mât, d’environ 15 mètres pour demain.

Perplexe, le directeur accepte tout de même. Arrive un second malade qui lui demande :
– Je désirerais un gros pot de peinture blanche. Est- ce possible ?
– Cela l’est, accorde le directeur de plus en plus interloqué, vous l’aurez demain.

Un troisième arrive :
– J’aimerais avoir une planche 50 x 50 cm et un gros feutre noir indélébile.

Le directeur, au comble de l’étonnement, accepte et lui promet pour le lendemain.

Le jour dit, il va vérifier les dires du premier et trouve au milieu de la cour un mât peint en blanc. Il remarque alors, tout en haut de celui-ci, la petite planchette de bois où est écrit quelque chose qu’il ne peut lire. Prenant son courage à deux mains, le directeur grimpe au mât. Arrivé à la hauteur de la planchette, il peut lire :
– Attention, peinture fraîche !

Le snobisme des gueux

Deux femmes du monde regardent un Rembrandt qui représente des gueux.
– Regardez, dit l’une, c’est curieux, on nous traite de snobs, mais franchement, des gens de cette condition, se faire peindre par Rembrandt, si ça n’est pas du snobisme.

Les vêtements paradisiaques

– Ce que je me demande, dit un amateur de peinture en contemplant un tableau qui représente Adam et Ève après le péché, c’est de quelle façon ils pouvaient bien arriver à faire tenir leurs feuilles de vigne !
– Voyons, répond une dame, c’est évident, avec une épingle à cheveux.