Dans un parc, un homme mécontent interpelle un peintre qui vient de poser sur un cet écriteau :
« PINTURE FRECHE »
– Vous n’êtes pas capable d’écrire deux mots correctement ?
– Oh ! Si ! Avant de devenir peintre, j’ai été professeur de français, pendant dix ans, dans un lycée. Mais c’est le seul moyen que j’ai trouvé pour que les gens qui veulent s’asseoir sur ce banc fassent un peu attention à mes avertissements.
Dans un square, un tout petit garçon demande à un monsieur :
– Est-ce que vous pourriez m’ouvrir la porte du square, s’il vous plaît, monsieur ?
– Bien sûr, mon petit, tu es très poli, et bientôt quand tu seras grand, tu l’ouvriras tout seul.
– Oh ! Oui, monsieur, surtout que la peinture sera sèche à ce moment-là.
Un philosophe confie à un autre :
– Je ne comprends pas les gens. On leur dit qu’on peut faire le tour du monde en une demi-heure où qu’un garçon est né au Pakistan avec un corps de serpent, et personne ne le mettra en doute. Mais on accroche sur un banc une pancarte « peinture fraîche » et tout le monde le touchera pour vérifier si c’est vrai !
Un jeune couple est en train de faire repeindre les murs de sa maison par un artisan.
Le soir, en rentrant de son travail, le mari qui n’a pas fait attention applique ses mains sur la peinture encore fraîche et laisse des marques bien visibles.
Le lendemain matin, la jeune dame accueille le peintre en ces termes :
– Peut-être voudriez-vous voir où mon mari a posé ses mains hier soir ?
Le peintre soupire et répond :
– Ecoutez m’dame, j’ai une grosse journée de travail devant moi, alors, pourquoi est-ce que vous ne me feriez pas un café tout simplement ?
