blague parrain

Le mafieux caustique

Les perles : la justice

Procès sous haute surveillance policière. Sur le banc des prévenus est assis Michele Zaza, le parrain de la Camorra napolitaine. Pour l’occasion, le tribunal correctionnel a été transformé en camp retranché. Malade, assisté en permanence d’un médecin et d’une infirmière, Michele Zaza répond d’une vaste contrebande de cigarettes. Quand le représentant des douanes se lève et réclame 50 millions de francs d’amende pour le trafic ainsi organisé, le chef mafieux, bien qu’affaibli, retrouve son sens de l’humour et, se tournant vers son avocat, le bâtonnier Allegrini, lui lance : « On peut payer en deux fois ? »

La victoire de Francis le Belge

Les perles : la justice

Plus connu sous le nom de Francis « le Belge », Francis Vanverberghe, le dernier « parrain » marseillais, héros de la « French Connection », réussit la prouesse de faire condamner l’État français par la Cour européenne des droits de l’homme à lui verser 85 000 francs d’indemnités, pour ne pas avoir été jugé dans un « délai raisonnable »… Un peu comme si Al Capone faisait condamner Eliot Ness. Grand seigneur, il propose cette somme à l’abbé Pierre, mais les ligues de vertu s’en mêlent. L’abbé Pierre refuse. Francis « le Belge » est abattu le 27 septembre 2000 dans un bar-PMU du 8e arrondissement de Paris. Fin de trajectoire.

Par ici la monnaie !

Un jeune homme, venu présenter ses vœux le premier de l’an à son parrain dont l’avarice est proverbiale, lui dit :
– Mon cher parrain, figurez-vous que j’ai rêvé une chose agréable.
– Ah ! Et quoi donc ?
– Que… vous me prêtiez cent euros.
– Eh bien ! Mon cher filleul, garde tout. Inutile de me rembourser.