blague oiseaux

La fortune vient en pigeonnant

– Nous allons faire fortune, dit un homme à ses associés. Voilà, il suffit d’installer, dans la ville, une dizaine d’appareils pour laver automatiquement sa voiture.
– Encore faudrait-il que les automobilistes aient l’idée de les utiliser.
– J’y ai pensé. C’est pourquoi, parallèlement, je prévois de créer un élevage d’un millier de pigeons.

Le petit ver et le gros gland

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C’est un tout petit ver qui se ballade sur son chêne et qui aperçoit un gros gland par terre, alors le ver se dit :
« Si moi manger gros gland, moi devenir gros vers »…
Et il se tape le gros gland.

Pendant ce temps arrive un petit oiseau dans le ciel, et il aperçoit le gros ver :
« Si moi manger gros vers, moi devenir gros oiseau »
Et il se tape le vers. Puis repu, il se pose au bord d’une petite mare.

A ce moment la arrive une petite chatte :
« Ouuuuhh, si moi manger gros oiseau, moi devenir grosse chatte »
La petite chatte prend donc un grand élan, saute et…… tombe dans l’eau.

MORALITE : Plus le gland est gros, plus la chatte est mouillée.

L’explorateur Belge et l’oiseau pic-tête

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C’est un explorateur belge qui veut traverser le désert de la mort. Alors il s’équipe, achète un chameau, un fusil et de la nourriture pour un mois, tout ça, Et puis avant de partir, quand même, il se renseigne un tout petit peu. Il va voir un indigène du coin et lui demande :
– Dites-moi, mon brave, le désert, à part la chaleur qui règne dans la journée et le froid qu’il fait le soir, on ne risque rien ?

L’autre lui fait :
– Ah si ! Ah si ! Il y a un grand danger, c’est un oiseau qui vit dans le désert… Il s’appelle le pic-tête. C’est un oiseau qui plane comme ça, et quand il voit un homme qui marche dans le désert, il pique droit dessus le bec en avant et lui cogne la tête. Croyez-moi, ça fait très mal…
– Il y en a beaucoup ?
– On ne sait pas combien, mais en tout cas il y en a bien assez… Et il faut faire attention le jour comme la nuit, car on ne l’entend pas venir !

Alors l’explorateur part dans le désert, et toute la journée, obsédé par le danger que représente le pic-tête, il reste sur ses gardes. Dès qu’il entend le moindre vent, il se dit: « Ça y est, c’est le pic-tête » et il se met à marcher avec les mains sur la tête. Bref, ça devient une vraie fixation.

Quand vient le soir, l’explorateur décide de s’arrêter pour dormir et se dit :
« Ah non, non ! Ce n’est pas prudent : si je m’endors comme ça, sans protection, le pic-tête peut surgir dans la nuit et me tomber dessus. Alors voyons, qu’est-ce que je pourrais faire ? »

Tout à coup, le belge décide de faire comme les autruches : il creuse un trou dans le sable, se met la tête dedans et s’endort comme ça.

Cinq minutes plus tard, un Bédouin passe par là, voit les fesses du mec et se dit :
– Mais qu’est-ce que c’est qu’ça ? Ça fait des mois que j’en ai pas vu, je n’vais pas laisser passer une occasion pareille !

Et hop, ni vu ni connu, le Bédouin se place derrière le mec et crac-crac… A ce moment-là l’explorateur se réveille, et du fond de son trou on l’entend dire :
– Je m’en fous, continue à piquer, tu n’es pas prêt d’avoir ma tête !