blague notaire

T’as le bonjour Alfred !

Le notaire est en train de lire les dernières volontés du défunt, un riche homme d’affaires, à toutes les personnes mentionnées sur le testament :
« A toi, Jacqueline, mon épouse adorée qui m’a toujours supporté dans les épreuves de la vie, je laisse les deux millions de mon compte en Suisse, ainsi que la villa de Monaco. »

Le notaire continue :
« A toi, mon fils Bertrand, je laisse tous les biens mobiliers et immobiliers que le fisc voudra bien te laisser avec les frais de succession, plus le Yacht sous pavillon des îles Caïman. »

Et l’officier ministériel termine la lecture par :
« Et enfin à toi, mon cousin Alfred, toi qui me haïssais tant, toi qui me jalousait, toi, qui pensait que jamais je ne mentionnerai ton nom sur mon testament… Tu avais tort. Bien le bonjour Alfred ! »

Pour quoi se faire opérer ?

Deux chirurgiens d’une clinique de chirurgie esthétique réputée, se retrouvent sur leur parcours de golf favori. Ils en profitent pour discuter :
– J’ai opéré la femme du notaire la semaine dernière.
– Ah oui ? Et pour quoi ?
– Pour à peu près 5.000 euros.
– Oui, mais qu’est-ce qu’elle avait ?
– A peu près 5.000 euros…

La blague de la veuve du cantal

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Deux copains Jacques et André profitent de quelques jours de vacances pour aller faire de la randonnée dans le Cantal. Malheureusement, alors que la journée tire à sa fin, il se font prendre dans un énorme orage. Aucun abri naturel n’étant en vue, ils se dirigent vers une ferme toute proche.

Lorsqu’ils frappent à la porte, ils sont accueillis par une très jolie femme qui leur offre aussitôt l’hospitalité pour la nuit. Elle les fait entrer et explique :
– J’ai perdu mon mari le mois dernier. Je ne voudrais pas que les voisins jasent si ils apprennent que je vous héberge plus longtemps, vous comprenez ?
– Oui bien sûr, ne vous en faites pas. D’ailleurs, nous irons dormir dans l’étable et nous ferons simplement sécher nos vêtements dans votre maison.

Neuf mois après cet épisode Jacques reçoit une lettre du notaire de la veuve… Il appelle aussitôt son copain André :
– Dis-donc Dédé, tu te souviens de cette jolie veuve qui nous avait hébergés dans le Cantal lors de ce terrible orage ?
– Oui, pourquoi ?
– Est-ce que, par hasard, au cours de la nuit, tu n’aurais pas quitté l’étable où nous dormions pour aller la retrouver et faire l’amour avec elle ?
– Heu… Oui c’est vrai..
– Et est-ce que, toujours par hasard, tu n’aurais pas utilisé mon nom à la place du tien ?

André rougit et répond :
– Oui, c’est vrai. Qu’est-ce qui se passe ? Elle est tombée enceinte ? Elle te fait des misères ?
– Non non, c’est plutôt l’inverse. Elle vient de mourir accidentellement et elle m’a légué tout ce qu’elle possédait.

Les dernières volontés du monsieur très riche

Un monsieur très riche a appelé son notaire sur son lit de mort car au dernier moment, il veut changer ses dernières volontés…
– Je veux laisser tout ce que je possède, actions, titres de propriétés, immeubles et tableaux de maîtres, je veux tout laisser à ma femme, mais avec une condition…
– Et quelle est elle ? demande le notaire.
– Si elle veut tout hériter de moi, ma femme doit se remarier dans les six mois qui suivent ma mort !

Le notaire est assez désabusé par la condition demandée par son client, et il demande :
– C’est assez inhabituel comme condition. Vous avez une explication pour cela ?
– Oh oui ! C’est parce que de cette façon, je suis sûr qu’au moins une personne regrettera ma mort.

Alors le notaire commence à rédiger le nouvel acte… Et puis le mourant l’interrompt pour lui faire une recommandation de plus :
– Dans mes dernières volontés, ajoutez que je veux être incinéré et qu’ensuite mes cendres soient dispersées dans la mer.

Le notaire à qui on ne la fait pas demande tout de suite pourquoi, et le vieux répond :
– C’est juste pour le cas où ma femme voudrait faire ce qu’elle a toujours dit qu’elle ferait à ma mort… danser sur ma tombe.

Le testament de l’octogénaire

Une octogénaire, qui vient de dicter son testament, rappelle son notaire, déjà sur le pas de la porte. – Au fait, lui dit-elle, ajoutez donc ce codicille : Et, à mon gendre qui m’a répété, pendant soixante ans : « L’essentiel, c’est d’avoir la santé », je lègue mon armoire à pharmacie où il trouvera, intactes, toutes ces cochonneries de médicaments qu’il m’a fait prescrire par son médecin et que, désireuse de vivre centenaire, je me suis toujours bien gardée d’absorber.