blague mort

La blague du prix du paradis

C’est un gars très très méchant, et très très pingre qui meurt.

Naturellement, il est expédié directement en Enfer. Et pendant les 15 jours qui suivent sa mort, il y est soumis au régime infernal classique.

Cependant, le 16ème jour, il est expulsé de l’Enfer pour être accepté au Paradis. Pendant 15 jours, il goûte au régime paradisiaque classique, et l’apprécie à sa juste valeur….

… jusqu’à ce que, le 16ème jour qui suit son arrivée au Paradis, on le réexpédie en Enfer !

Là le gars ne comprend plus et demande à parler à Saint Pierre :
– Dites-donc Saint-Pierre, vous m’avez fait sortir de l’Enfer, et puis maintenant vous voudriez m’y renvoyer ?
– C’est que, après ta mort, ta famille a fait un chèque de don au curé de ton village, alors, on a estimé que ta famille avait racheté un peu de tes pêchés.
– Ah… Et dans ce cas là, pourquoi vous me renvoyez en Enfer maintenant ?
– Parce que le chèque était en bois !

Que devient-on quand on meurt ?

« Mon fils m’a demandé ce qu’on devenait une fois qu’on mourrait. Je lui ai répondu qu’on était enterré, puis que les vers venaient nous bouffer tout entier. J’aurais peut-être dû lui dire la vérité : « que la plupart d’entre nous allait en enfer et brûlait pour l’éternité » mais je n’ai pas voulu lui faire peur. »

Auteur inconnu

Dessin un enfant imagine les vers qui vont le dévorer après la mort
Que devient-on quand on meurt ?

La blague du dernier strudel

C’est un vieux juif sur son lit de mort à l’hôpital. Son fils vient lui rendre une dernière visite :
– Oh Papa, tu vas t’en aller trop vite. Dis-moi, quelle est la chose que tu veux que je fasse pour toi avant de nous quitter ?

Le vieux lui répond :
– Ah, j’aimerai manger un de ces strudels que ta mère sait si bien préparer.

Alors le fils court à la maison et trouve un strudel fraîchement sorti du four. Il s’apprête à l’emmener à l’hôpital quand sa mère arrive dans la cuisine. Alors il lui dit :
– C’est la dernière volonté de papa, il veut manger du strudel pour la dernière fois.

Et la mère lui répond :
– Ah non mon fils ! Ce strudel, c’est pour après les funérailles.

La vie d’après Donald Sutherland

« Je n’ai que 65 ans, je suis beaucoup trop jeune pour penser à la mort. De toutes façons, je suis pour la vie dans l’autre sens. Je trouve qu’on devrait commencer par la mort, comme cela on serait débarrassé de cette angoisse.

Puis on vous installerait dans une maison de repos, de laquelle on finirait par vous mettre à la porte parce que vous êtes trop jeune.

On passerait quelques années à voyager ou à jouer au golf, puis on nous donnerait une montre en or et on commencerait à travailler.

Cela durerait trente à quarante ans. Quant on aurait rassemblé toute cette expérience, on entrerait à l’université où l’on pourrait apprécier pleinement d’autres expériences comme le sexe, être saoul ou essayer quelques drogues.

Puis on irait au lycée, à l’école primaire et enfin à la maternelle. On se ferait câliner par une femme pendant trois ou quatre ans, ensuite on sucerait goulûment une douce mamelle, on passerait neuf mois dans un ventre bien chaud et la vie se terminerait par un orgasme ! »

Beaucoup plus chouette comme ça non ?