blague minijupe

S’habiller comme un plouc

– C’est atroce, gémit une pauvre femme, plus personne ne s’habille correctement. Regarde notre grand fils. Avec sa boucle d’oreille et ses chemises colorées, il ne lui manque plus qu’une minijupe. Et notre fille ! Avec ses jeans et ses blousons de cuir, on dirait un camionneur.

Soudain, elle se tourne vers son mari :
– Heureusement que tu es là pour assurer la continuité, en ce domaine. Quand on s’est rencontré, tu t’habillais comme un plouc et vingt ans plus tard, tu t’habilles toujours comme un plouc !

La robe ultracourte

En voyant la robe ultracourte qu’arbore sa grande fille, une dame s’écrie :
– Eh bien, tu peux dire que tu as de la chance !
– Pourquoi cela ?
– Si je m’étais habillée comme cela, quand j’avais ton âge, tu aurais au moins trois ans de plus.

Une petite jupe bien trop serrée

C’est une jeune femme qui porte une petite jupe ultra serrée. Elle doit prendre le bus, et pour cela, il lui faut monter les marches…

Le problème est bien là : La jupe est tellement serrée que qu’elle n’arrive pas à les enjamber… Alors elle porte la main derrière elle et baisse un peu la fermeture éclair.

Elle essaie encore d’enjamber, mais n’y parvient toujours pas : Du coup, elle repasse une main derrière elle et abaisse encore la fermeture. Ensuite elle réessaie de franchir les marches… ça ne veut toujours pas passer.

Alors, au moment où elle s’apprêtait à rejouer de la fermeture éclair, une paire de mains vigoureuses l’empoigne à la taille et la porte jusqu’à la marche supérieure du bus !

« Non mais, ça ne va pas ! Qui vous a permis ? » demande la jeune femme au gars derrière elle.

« Eh bien, la deuxième fois que vous avez baissé ma braguette, je me suis dit qu’on se connaissait suffisamment ! »

La position indécente

Un monsieur très guindé pénètre dans un compartiment de chemin de fer, totalement vide. Soudain, au moment où retentit le signal du départ monte une super nana en mini-jupe qui s’assied sur la banquette en face. Elle croise plusieurs fois les jambes au point que sa jupette remonte jusqu’à découvrir sa plus tendre intimité. Après s’être copieusement rincé l’œil en faisant semblant de lire son journal, le monsieur se décide enfin à protester :
– Vous avez une pose tout à fait indécente, mademoiselle.
– Madame, rectifie la jeune femme.
– Excusez-moi, fait le monsieur, d’un ton narquois, mais vous êtes à contre-jour. D’ici, je ne pouvais pas voir ce détail.