blague malheurs

L’âge de mes artères au féminin

– Ah ! Ma pauvre, confie une dame à une amie, j’en ai eu des malheurs, depuis la dernière fois qu’on s’est vu ! J’ai perdu mon mari, ma fille a eu un bébé sans être mariée, mon notaire s’est enfui avec toute ma fortune, ma voiture a été pulvérisée dans un accident qui m’a laissée avec une jambe fracturée. C’est simple, en deux ans, j’ai au moins vieilli de six mois.

Les malheurs de l’un et le pire de l’autre

blague malheurs, blague pire, blague aristocrates, blague anglais, blague club, blague empathie, blague égoïsme, humour

Deux aristocrates anglais discutent à leur club. Le premier raconte ses malheurs au second :
– Mon manoir a brûlé et il n’était pas assuré !

L’autre lui répond :
– Il y a pire !

Le premier ajoute :
– En plus, ma fille va se marier avec un noir catholique !

L’autre répond :
– Il y a pire !

Le premier ajoute :
– Oui, mais en plus j’ai sur le dos un contrôle fiscal sur 20 ans de comptabilité !

L’autre répond :
– Il y a pire !

Excédé, le premier demande :
– Mais qu’est-ce qui serait pire que tous ces malheurs ?

L’autre répond :
– Ce qui serait pire, ce serait que cela m’arrive à moi !

Dormir comme un bébé

humour, blague sur le sommeil, blague sur les bébés, blague sur les divorces, blague sur le chômage, blague sur les décès, blague sur les malheurs

Un type (qu’on appellera Marcel) se promène en ville quand il aperçoit son vieux copain Gérard, qu’il n’a pas revu depuis des années. Il se précipite vers lui et l’apostrophe :
– Salut Gérard, ça fait une paie ! Qu’est-ce que tu deviens ?
– Salut Marcel. Ben entre autres, je suis marié depuis deux ans.
– Sacré Gérard! Et qu’est-ce que tu fait comme boulot ?
– Je bossais dans une boite d’informatique, mais je me suis fait virer la semaine dernière.
– Aie, sale coup. Et ça va, tu tiens le choc.
– Ouais, je dors comme un bébé.
– Ah, bon… tant mieux ! Faut que j’y aille, là, mais on se revoit bientôt, hein.
– Sans doute.

Deux mois après, Marcel recroise Gérard dans un café et lui offre un verre.
– Alors, toujours sans job ?
– Ouais, toujours.
– Au moins, ça te laisse du temps à passer avec ta femme.
– Elle m’a plaqué avant-hier.
– Ouille, vraiment désolé, vieux.
– Pas de quoi.
– Tu sais, si je peux faire quoi que ce soit pour toi.
– Non, je t’assure, Marcel, je dors toujours comme un bébé.
– Si tu le dis…

Les deux amis se quittent et, un mois plus tard, Marcel invite Gérard à manger chez lui. Au cours du repas, Marcel s’enquiert de la situation de Gérard.
– Toujours sans travail ?
– Tu sais ce que c’est, même les jeunes ne trouvent plus de boulot, aujourd’hui.
– Et tu as des nouvelles de ta femme.
– Elle vient de demander le divorce pour pouvoir se remarier avec mon ex-patron.
– Ah ! (Marcel, très gêné, essaie de changer de sujet) Et tes parents vont bien ?
– Ils sont morts dans un accident d’avion il y a cinq jours.
– C’est pas vrai ! Toutes mes condoléances, mon vieux. Si je peux t’aider à supporter…
– Pas la peine, je te dis que je dors comme un bébé.
– Mais enfin ! Je ne te comprends pas. Il ne t’est arrivé que des trucs affreux en moins de quatre mois et tout ce que tu trouves à dire c’est « Je dors comme un bébé ». Mais comment tu fais ?
– C’est simple : je dors une heure, je pleure une heure, je dors une heure…