– C’est ton ami Stéphane qui vient de passer ? Demande une dame à son mari. – Oui. – Alors, il s’est enfin décidé à te rapporter la centaine de livres qu’il t’a empruntés, au fil des mois ? – Heu… non. En fait, il était venu avec une camionnette. Il a absolument voulu que je lui prête notre bibliothèque pour qu’il puisse y ranger nos livres sans qu’ils risquent de s’abîmer.
Un éditeur reçoit une dame d’une cinquantaine d’années qui lui a soumis le manuscrit d’un roman. – Nous allons publier votre œuvre, lui annonce-t-il. Pour séduire les téléspectateurs, je vais charger mon directeur artistique de réaliser une couverture aussi sexy que possible. Dans le même ordre d’idées, puis-je vous suggérer, avant sa parution, au cas où vous passeriez à la télévision, de procéder à un lifting ?
C’est un gars qui vend des bibles en porte-à-porte depuis quelques années déjà, et il en a marre : il décide de se mettre à son compte. Il passe donc une annonce pour recruter des jeunes vendeurs qui vendront les bibles à sa place. Trois candidats se présentent :
Le premier lui dit : – Je VEUX vendre des bibles pour VOUS ! – C’est d’accord mon gars mon gars, tu es embauché : Tiens, prend ton équipement et va vendre des bibles !
Le second arrive et dit : – Je VEUX vendre des bibles pour VOUS ! – C’est d’accord mon gars mon gars, tu es embauché : Tiens, prend ton équipement et va vendre des bibles !
Le troisième entre et dit : – Je v-v-v-v-eux ven-ven-ven-dre d-d-d-des bi-bi-bi-bi-bibles p-p-p-pour v-v-v-vous – Non mon gars. Je ne peux pas te prendre. Jamais tu n’arriveras à me vendre une bible. Laisse tomber ! – M-m-m-mais j’ai vr-vr-vrai-vrai-vraiment be-be-be-besoin de-de-de ce tr-tr-tr-tra-tra-travail !
Comme il n’y a plus de postulant pour le poste, le nouveau patron accepte de prendre le bègue à l’essai : – Tiens, voilà un carton de bibles, prend le et va me vendre toutes les bibles que tu peux.
A la fin de la journée, les vendeurs rentrent à la base …
Le premier dit : – J’ai vendu 8 bibles aujourd’hui.
Le second dit : – J’ai vendu 11 bibles.
Le bègue dit : – Auj-auj-auj-j-j-jourd’hui j-j-j-j’ai ven-ven-ven-vendu vingt-vingt-vingt-huit bi-bi-bi-bibles.
Le patron répond : – SUPER les gars. Mais demain, j’attend de vous que vous me vendiez beaucoup plus de bibles que ça. Aujourd’hui c’était l’entraînement, demain, c’est la compétition !
A la fin de la deuxième journée, le premier vendeur est au rapport : – J’ai vendu 32 bibles !
Le second dit : – J’ai vendu 44 bibles !
Le bègue arrive et dit : – Auj-auj-auj-j-jour-jour-jour-jourd’hui j-j-j-j’ai ven-ven-ven-vendu soi-soi-soi-xan-xante-dix-dix-dix-neuf bi-bi-bi-bibles.
Le boss répond directement au bègue : – Fantastique ! je me demande vraiment comment vous parvenez à vendre quasiment deux fois plus que les deux autres vendeurs ! Je serai curieux de connaître votre technique de vente…
Alors le bègue répond : – Je-je-je-je les-les-les ab-ab-aborde sim-sim-sim-ple-ple-plement et j-j-j-je leur d-d-d-deman-demande s-s-s-s-si ils v-v-v-veulent qu-qu-que j-j-j-j-je l-l-l-leur v-v-v-v-v-vend-d-d-de une b-bi-bi-bi-bibl-bl-bl-bible ou s-s-s-si ils v-v-v-v-veul-l-l-veulent qu-qu-qu-que j-j-j-je l-l-leur LISE un pa-pa-pa-pa-ssa-ssa-ssa-ge ?
Un éditeur et un auteur cherchent quel texte croustillant ils pourraient mettre sur la bande d’un roman pornographique, particulièrement gratiné. Après une heure de recherches infructueuses, l’éditeur suggère : – Et pourquoi pas, tout simplement : « BANDE » ?