blague Léonid Brejnev

La blague des bienfaits du goulag

Du temps de la guerre froide, Marchais reçoit un coup de fil :
– Camarade Marchais, ici le camarade Brejnev. Je suis à Paris pour la journée; puis-je vous rendre visite ?
– Bien sûr camarade Brejnev, c’est un grand honneur.

Il raccroche, et son perroquet se met aussitôt à entonner une litanie : « A mort Brejnev » et il n’arrête pas. On sonne a la porte et le perroquet n’arrête toujours pas. Alors Marchais le cache dans le premier endroit insonorisé qui lui vient à l’esprit : le congélateur.

Brejnev entre et Marchais lui propose une vodka.
– Bonne vodka, camarade Marchais. Mais nous autres soviétiques la buvons plus fraîche. Ne bougez pas, je vais chercher de la glace.
– NON !

Trop tard, Brejnev a ouvert le congélateur et se retrouve nez à nez avec un perroquet grelottant. Il le prend dans ses bras et le caresse en disant « pauvre petite bête ». Marchais est bien ennuyé et doit lui expliquer toute l’histoire. A ce moment-là, le perroquet se met à crier : « Vive Brejnev ».

Et Brejnev de dire :
« Tu vois camarade Marchais, le goulag, ça a du bon… »

La blague de l’antisémitisme russe

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Brejnev rencontre Marchais. Marchais lui fait des reproches :
– Camarade Brejnev, j’ai entendu dire que l’URSS était antisémite.
– Ah bon camarade Marchais ? Je suis très étonné, je vais mener une enquête et on se retrouve dans un an.

Un an plus tard, Brejnev à Marchais :
– Camarade Marchais, j’ai écouté vos reproches et j’ai fait construire une synagogue en plein centre de Moscou. Mais on a des problèmes pour recruter le rabbin.
– Ah bon camarade Brejnev, comment cela ?
– Le premier qui s’est présenté connaissait très bien la torah (loi juive) mais il n’avait jamais lu ni Marx, ni Lénine, impossible de le prendre. Le deuxième connaissait Marx et Lénine sur le bout des doigts, mais il n’avait jamais lu la torah, impossible de le prendre. Le troisième connaissait bien la torah, connaissait bien Marx et Lénine, mais on ne peut pas le prendre non plus, hélas…
– Mais pourquoi donc, camarade Brejnev ?
– Il est juif.

Quand Brejnev voulait ouvrir des boîtes de striptease

Brejnev au retour d’un voyage en Occident décide que pour attirer les touristes et gagner des devises l’URSS ouvrira également des boîtes de strip-tease. La création des cabarets est inscrite dans le plan et le meilleur bureaucrate est désigné pour en assurer l’exécution. Un an après, Brejnev le fait venir et demande le bilan :
– Alors, camarade, combien de boîtes de nuit ouvertes à Moscou ?
– Dix, camarade Premier Secrétaire !
– Et quel bénéfice ?
– Pas de bénéfice hélas, camarade Premier Secrétaire !
– Comment ! Mais as-tu vérifié que tout a été fait pour attirer le touriste occidental ?
– Oui, camarade Premier Secrétaire !
– Est-ce que la vodka est bonne ?
– La meilleure, camarade Premier Secrétaire !
– Est-ce que la musique est bonne ?
– La plus moderne, camarade Premier Secrétaire !
– Ah, j’y suis, dit Brejnev, je suis sûr que les filles n’ont pas été bien choisies !
– Ah si camarade Premier Secrétaire ! Elles ont toutes leur carte du parti depuis la Révolution d’Octobre !