– Je voudrais cinq kilos de carottes, dit une cliente à un commerçant du marché. Voyez-vous, mon mari me demande de lui en faire tous les jours. – Et il ne s’en lasse pas ? – Oh ! Non. Quand il voit arriver son plat de carottes, je lis toujours le même bonheur dans ses bons yeux roses, tandis qu’il agite ses grandes oreilles.
C’est un petit lapin qui veut traverser la route. De l’autre côté, il y a un énorme taureau qui le regarde. Donc le petit lapin regarde à gauche, regarde à droite, puis voyant qu’il n’y a rien traverse tranquillement.
Vient roulant à tombeau ouvert, une corvette que le petit lapin n’avait ni vu, ni entendu arriver. Alors celui-ci se met à courir et évite la voiture qui tout de même lui rouler sur sa petite queue… L
e taureau qui n’a rien loupé de la scène, se gondole de rire… Le lapin vexé lui demande ce qui le fait autant rire…
Il lui répond : « C’est parce que tu as de grandes oreilles pour bien entendre les voitures, et de grandes pattes pour courir très vite… c’est bien la peine puisque tu t’es fait rouler dessus… »
Et le lapin décidément de plus en plus vexé lui rétorque : « Et toi c’est bien la peine d’avoir de si grosses couilles et d’avoir de si grandes cornes… »
Trois groupes de militaires, de gendarmes et de policiers s’ennuyaient. Ils décidèrent alors de faire un concours de chasse au plus gros lapin.
Les militaires partirent et ramenèrent un beau gros lapin d’un moins 3 kg. Les gendarmes à leur tour ramenèrent aussi un lapin mais hélas d’à peine 2 kg.
Au tour des policiers. Une heure passée, deux heures passées… trois heures, quatre heures,….
Les militaires et les gendarmes commencent à s’inquiéter et partent à leur recherche. Ils trouvent les policiers autour d’un cochon qu’ils sont en train de passer à tabac, en le bastonnant sans merci et en répétant à tour de rôle : « Avoue que t’es un lapin. »
C’est l’histoire de deux amis très proches. Tellement proches qu’ils partagent tout, ils sont toujours ensembles dans vie. Ils se font même une promesse mutuelle : le premier qui meurt réserve une place à l’autre dans au-delà.
Et ce qui devait arriver arriva : un des deux compères décède prématurément. Le deuxième n’a pas la force d’attendre de mourir lui aussi pour retrouver son ami. Il décide donc de prendre part à une séance de spiritisme pour entrer en communication avec lui : – Alors comment ça va ? – Je vais bien merci, la vie est fantastique ici… – Hé bien raconte ! Comment se passent tes journées ? – Je me lève le matin et crac-crac, tu vois ce que je veux dire, un peu d’exercice dès le lever, puis je prends mon petit-déjeuner et crac-crac. Je déjeune et là-dessus crac-crac jusqu’au dîner. Finalement quelques crac-crac avant de dormir et voilà… – Le rêve… alors tu me la réserves cette place au paradis hein… – Mais je ne suis pas au paradis, je suis dans un élevage de lapins dans le Gers !
M. Lapaux élève dans le fond de son jardin des petits lapins. Le rendement du lapin restant faible en comparaison du travail demandé, M. Lapaux décide de remplacer ses lapins par des cochons et, pour ne pas investir trop d’argent, il place ses cochons dans les clapiers précédemment occupés par les lapins. Le gros problème, les cochons grossissent à un tel point, qu’il devient impossible de les sortir des clapiers.
Moralité : Le point noir est provoqué par la dilatation des porcs de Lapaux.