blague juifs

La scène d’amour au cinéma

David et Sarah, sa femme, vont au cinéma. Là, au milieu du film, il y a une grande scène d’amour où Belmondo tente de séduire Carole Bouquet. Et c’est vraiment le Belmondo des grands jours :
– Pardon, me voilà ! J’arrive ! Vous m’attendiez ! Mystère, sadisme, tout le charme de l’Orient, poussez-vous !

Alors Bébel prend la main de Carole Bouquet, qui est rose comme un bouquet de crevettes, et il la caresse en disant :
– Vos yeux sont merveilleux, ils ont les reflets bleus des harengs du Mexique lorsqu’ils sont amoureux. On partira, on s’aimera dans des draps turquoise. Il y aura la mer, il y aura vous, il y aura moi, il y aura nous, etc.

Le film se termine sur un baiser langoureux, les gens sortent de la salle et Sarah dit à David d’un air rêveur :
– Quand même, tu as vu dans le film, qu’est-ce qu’il est amoureux de sa femme ! Tous les beaux poèmes qu’il lui dit ! Pourquoi tu as jamais fait ça avec moi ?

Et David lui répond :
– Tu sais combien il est payé, lui ?

Pour gagner à la loterie

David, donc, va prier tous les samedis à la synagogue et dit :
« Mon Dieu, s’il te plaît fais-moi gagner 1 million, s’il te plaît, je sais que c’est toi le vrai Dieu, alors fais-moi gagner un million et je donne la moitié à la synagogue ». Tous les jours, c’est la même chose, et il ne gagne jamais.

Dégoûté, il dit :
« Attention, mon Dieu, si je ne gagne pas cette fois, je vais à l’église ! »

Et comme il perd, il va prier à l’église :
« Jésus, s’il te plaît, fais-moi gagner 1 million et je te jure que je donnerai la moitié à l’église et à toutes les paroisses. »

Il joue le jour même et hop ! il gagne le million…

Alors, il retourne à la synagogue et dit :
« Mon Dieu, il y a que toi qui savait que j’allais rien donner, hein ? »

Quel imbécile ce Moïse

Dans une école en Israël. L’instituteur demande à un élève :
– Qui était Moïse ?
– Un gars pas bien malin.
– Comment ! Tu n’as pas honte de parler ainsi de Moïse, notre grand ancêtre ?
– Non, c’est un abruti car après avoir traversé la mer rouge, il a tourné à gauche. S’il avait tourné à droite, c’est nous qui aurions eu tout le pétrole…