blague jalousie

Les trois vieilles au zoo

Ce sont trois vieilles dames qui sont allés traîner leur ennui au zoo. Il fait beau, et elles en profitent pour prendre le thé à la terrasse d’un petit kiosque. Tout à coup un buisson s’agite, un énorme gorille apparaît, enlève l’un des vieilles dames et disparaît avec elle dans le buisson.

A ce moment, la deuxième vieille dame repose sa tasse en disant d’un air pincé à la troisième :
– Je me demande bien ce qu’il lui trouve !

Les naufragés et la blonde

Deux marins, qui ont trouvé refuge, à la suite d’un naufrage, sur une île déserte, en compagnie d’une belle passagère blonde du navire englouti, sont en train de se battre à grands coups de poings.
– Mais, enfin, s’écrie la blonde, en tentant de les séparer, lequel a bien pu se mettre en tête l’idée stupide que l’un de vous deux est de trop ?

Le mari qui disparaît pendant une soirée

Au cours d’une soirée, un invité a disparu. Sa femme, atrocement jalouse, fouille toute la maison, sans parvenir à remettre la main dessus.
Et puis, dans une inspiration géniale, elle ouvre la porte de la penderie et là, au milieu des vêtements pendus sur les cintres, elle découvre son mari en compagnie d’une blonde à la jupe relevée jusqu’aux omoplates et au corsage déboutonné.
Ah ! chérie, s’écrie le mari avec un aplomb phénoménal, tu es donc là ! Voilà plus d’une demi-heure que je te cherche partout !

La jalousie maladive

– Mon fiancé est d’une jalousie maladive, dit une figurante d’un grand music-hall à une de ses camarades de la revue. Il m’accuse de lui être infidèle alors que, depuis six mois que dure ce spectacle, je n’ai eu qu’un seul amant : le pompier de service.
– Tu oublies de préciser qu’il change tous les soirs.

La violence de l’affreux jaloux bourré

Un affreux jaloux rentre chez lui, complètement pété : Apercevant son reflet dans la glace de l’entrée, il se met en colère.
– Sale individu ! Tu profites de ce que je suis au boulot pour venir coucher avec ma femme ! Mais ça ne va pas se passer comme ça. Tiens, attrape !

Il lance un grand coup de poing dans la glace qui vole en éclats. Décontenancé, en voyant les morceaux de verre, qui jonchent le sol, l’ivrogne balbutie :
– Pourquoi, aussi, avant qu’on s’explique entre hommes, tu n’as pas enlevé tes lunettes ?