blague incognito

L’origine du ponte

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22 juillet 2020 – L’origine du ponte

Bientôt les vacances, Pr Raoult ?
Didier Raoult : « Oui. Mais je me suis rasé la tête pour rester incognito. »
(Caricature Didier Raoult – Dessin du 22 juillet 2020)

Quand Zidane se déguise

De retour de la Coupe du monde, les joueurs Français décident de se déguiser pour ne pas être reconnu…

Zidane se déguise en moine avant d’aller se promener sur les Champs-Elysées quand, soudain, une vieille dame lui dit :
– Ça va Zizou ?
Vexé, Zidane va s’habiller en maharadjah. La même vieille dame le croise :
– Ça va Zizou ?

Interloqué, il lui dit :
– Mais comment faites-vous pour me reconnaître ?

La dame rigole :
– T’es bête ou quoi ? C’est moi, Barthez !

Le Maréchal Tito incognito

Tito règne, comme nous l’apprennent les livres d’histoire, avec une poigne de fer sur la Yougoslavie fraîchement vidée des occupants. Comme le rude maréchal est soucieux de connaître l’opinion du peuple, il décide d’aller incognito prendre ses renseignements.

A la sortie d’une usine il se mêle aux ouvriers qui rentrent chez eux et en prend un a part :
– Dis moi, camarade, qu’est-ce que tu penses de Tito ?

D’un air affolé, l’homme prend Tito par le bras et l’emmène vers l’arrière de l’usine. Il jette partout des regards soupçonneux, et vérifie que personne ne le suit. Ils entrent dans le sous-bois qui jouxte l’usine, marchent pendant une bonne heure, et l’homme n’a pas l’air de vouloir s’arrêter. Tito, vraiment très intrigué, préfère jouer le jeu et ne dit rien.

Quelques kilomètres défilent, tandis que Tito est toujours tiré en avant par l’ouvrier. Le maréchal est de plus en plus curieux et comprend de moins en moins ce qui lui arrive.

Le soir tombe dans la campagne yougoslave, quand l’homme s’arrête enfin, après avoir parcouru encore quelques bornes par des chemins tortueux et des sentiers abandonnés, au milieu d’une petite clairière. Il jette encore quelques coups d’œil inquiets de chaque côté, avant de s’approcher de Tito et de lui glisser à l’oreille :
– Eh bien, tu sais, moi, Tito…
– Oui, camarade, alors ?
– Eh bien, moi… Tito, je l’aime bien !