blague imitation

La maison de campagne du parisien

Un parisien possède une maison de campagne. On lui conseille d’acheter un chien de garde pour éloigner les voleurs pendant la nuit.
– Croyez-vous que je vous ai attendu pour y penser ? J’ai trouvé mieux et sans bourse déliée.
– Comment ?
– Toute la nuit, j’imite les aboiements d’un chien. Comme cela, je suis tranquille pendant mon sommeil.

Le braconnier belge

Cela se passe dans une forêt profonde. Léon, qui essaie tant bien que mal de braconner, sans résultat alors qu’il est équipé de tout un matériel hi-tech, rencontre Pierrot qui lui braconne les mains nues avec grand succès.

Léon :
– Bah dis donc, une fois, comment fais-tu pour attraper autant de lapins avec rien dans les mains, comme ca ?

Pierrot :
– Eh bien gars, vois-tu, je me mets devant un terrier de lapin et j’imite le cri de la carotte. Si c’est un petit terrier, j’imite le cri de la petite carotte, si c’est un terrier moyen, je fais le cri de la carotte moyenne, et si c’est un gros terrier. le cri de la grosse carotte.

Léon :
– Ah ! Et dis-moi une fois, je pourrai en faire autant et ca marcherai ?

Pierrot :
– Ouais, ouais.

Et le lendemain matin, on lit en première page du journal :
« Un belge écrasé par un train à la sortie d’un tunnel. »

Le gars qui au zoo file…

C’est l’histoire de ce gars qui s’en va un jour au zoo pour passer le temps.

Alors qu’il reste pensif devant l’enclos du gorille, un coup de vent vient balayer le sol et il se retrouve avec de la poussière dans l’œil.

Le gars tire sa paupière inférieure vers le bas pour essayer de déloger le grain de sable… Cependant, au moment où il fait ce geste, dans la cage, le gorille devient fou, s’accroche aux barreaux du dessus, se balance jusqu’à arriver en un instant à portée de bras du gars, et aussitôt, il l’agrippe et le secoue comme un prunier contre les barreaux de la cage. Finalement, il le lâche par terre et le gars tombe, inconscient.

Lorsque le gars retrouve ses esprits, le gardien du zoo est penché au dessus de lui et aussitôt, lui demande ce qui lui est arrivé. Le gars raconte tout depuis le début : le coup de vent, la poussière dans l’oeil, ses manoeuvres pour se débarrasser du grain de sable, et finalement, le gorille qui devient fou.

Alors le gardien du zoo acquiesce en signe de compréhension et lui répond :
– Le geste que vous avez fait, de tirer votre paupière vers le bas comme si vous faisiez « Mon œil », en langage Gorille, ça veut dire « Va te faire enculer » ! C’est la raison de votre agression…

Mais le gars ne se satisfait pas de la réponse du gardien de zoo, et il veut sa revanche. Et après réflexion, il met au point un plan diabolique reposant sur la propension des singes à imiter tout ce que l’on fait devant eux.

Aussi, le lendemain, il passe acheter deux chapeaux en papier et des langues de belle-mère, il prend aussi deux grands couteaux dans sa cuisine et une saucisse dans son Frigidaire, et il revient au zoo.
Il se met la saucisse dans la pantalon, puis il vient se placer devant la cage du gorille, et il balance un des deux chapeaux, une des deux langues de belle-mère, et un des couteaux dans la cage.

Ensuite, il se met le chapeau sur la tête.
… et le gorille l’imite en se mettant le chapeau sur la tête.

Puis il prend la langue de belle-mère et souffle dedans
… et le gorille souffle lui aussi dans la langue de belle-mère.

Enfin, le gars prend son couteau, ouvre sa braguette et sort une partie
de la saucisse et la tranche d’un coup sec !
… et le gorille regarde fixement le couteau, puis il regarde ses parties génitales, puis il lui fait un bras d’honneur.

L’imprésario et le type qui imitait les oiseaux

C’est un imprésario qui est dans son bureau. Un type entre et lui demande :
– Bonjour, vous n’avez pas du boulot pour moi ?
– Ça dépend de ce que vous faites.. Vous n’êtes pas magicien ?
– Non, moi, mon truc, c’est d’imiter les oiseaux.
– J’ai des cinquantaines de mecs qui font ça, ça ne m’intéresse pas !
– Bon, tant pis…

Sur ce, l’homme ouvre la fenêtre et s’envole.

Dessin d'un imprésarion avec un homme qui vole
L’imprésario et le type qui imitait les oiseaux