blague hôtel

L’hôtel du Tour de France

Un jardinier d’un grand hôtel découvre que ses rosiers font plus de dix mètres de haut. Il découvre également des tomates de 20 centimètres de diamètre, des melons de dix kilos…

Il appelle le directeur et lui dit :
– Moi, je veux bien que l’hôtel héberge le Tour de France, mais dites aux coureurs d’arrêter de pisser dans le jardin…

La blague du voyage vers l’enfer

Un couple parisien décide de partir en week-end à la plage et de descendre au même hôtel qu’il y a 20 ans, lors de leur lune de miel. Mais, au dernier moment, à cause d’un problème au travail, la femme ne peut pas prendre son jeudi. Il est donc décidé que le mari prendrait l’avion le jeudi, et sa femme le lendemain.

L’homme arrive comme prévu et après avoir loué la chambre d’hôtel, il se rend compte que dans la chambre il y a un ordinateur avec connexion à Internet.

Il décide alors d’envoyer un courrier à sa femme. Mais il se trompe en écrivant l’adresse sans s’en rendre compte.

C’est ainsi qu’à Perpignan, une veuve qui vient de rentrer des funérailles de son mari mort d’une crise cardiaque reçoit le courriel. La veuve consulte sa boîte aux lettres électronique pour voir s’il n’y a pas de messages de la familles et/ou des amis.

C’est ainsi qu’à la lecture du premier d’entre eux, elle s’évanouit. Son fils entre dans la chambre et trouve sa mère allongée sur le sol sans connaissance, au pied de l’ordinateur. Sur l’écran, on peut lire le message suivant :

« À : Mon épouse bien-aimée

Objet : Je suis bien arrivé

Tu seras certainement surprise de recevoir de mes nouvelles maintenant et de cette manière. Ici, ils ont des ordinateurs et tu peux envoyer des messages à ceux que tu aimes. Je viens d’arriver et j’ai vérifié que tout était prêt pour quand tu viendras me rejoindre, demain vendredi. J’ai hâte de te revoir. J’espère que ton voyage se passera aussi bien que s’est passé le mien.

P.S. : Il n’est pas nécessaire que tu apportes beaucoup de vêtement. Il fait une chaleur d’enfer ici ! »

Le gourdin du camionneur

C’est deux camionneurs qui viennent de terminer leur journée et s’arrêtent pour manger dans un petit hôtel. Au moment où ils demandent une chambre, la patronne leur dit qu’elle n’en a plus qu’une seule avec un lit à deux places. Les camionneurs ne se connaissent pas mais sont complètement crevés et acceptent de dormir dans le même lit.

Sur le coup des 6 heures du matin, l’un des camionneurs est réveillé par les tremblements et des secousses du lit ; il se redresse et dit à l’autre d’un ton courroucé :
– Mais bon sang, qu’est-ce que tu fous ?
– Ben, le matin, c’est plus fort que moi, quand je me réveille avec le gourdin, il faut que je me masturbe !
– J’en ai rien foutre, mais si ça ne te dérange pas, prends au moins ta bite !

Les chaussures de l’hôtel

Apercevant le valet de chambre dans le couloir, le client de la chambre 42 lui lance :
– C’est incroyable, mes chaussures ont passé toute la nuit dehors dans le couloir et personne ne les a touchées !
– Je vous crois, monsieur, à l’hôtel le personnel est très honnête.