blague hold-up

Que devient le butin ?

Les perles : la justice

Devant la cour d’assises, saisie d’une retentissante affaire de hold-up, l’avocat général gronde : « L’argent des braquages ne va ni dans les start-up ni à Médecins du Monde. » Non, mais dans le marché de la vidéo RPR ou le financement occulte des partis, qui sait ?

Les bidochons cambrioleurs

L’auteur d’un hold-up raté dit à son complice :
– On a parlé de nous, à la télévision.
– Au journal de 20 heures ?
– Non. A Vidéo Gag, à qui le Crédit Lyonnais avait envoyé la bande enregistrée par la caméra de surveillance quand, à peine entré dans la banque, tu t’es pris les pieds dans le paillasson.

Le pari de la justice

Les perles : la justice

Une autre histoire de hold-up. Deux compères braqueurs, unis comme les doigts de la main, riaient, plaisantaient, ironisaient sous les yeux ahuris des policiers chargés de les surveiller étroitement, quand l’un d’eux eut l’irrévérence de se livrer avec son alter ego à des paris sur les peines que s’apprêtait à réclamer son accusateur. Il est vrai que l’un et l’autre n’avaient guère de soucis à se faire. Ils avaient près de cinquante années de prison au compteur judiciaire. Et savaient que la liberté ne serait pas pour demain.

L’écriture médicale

« Mon père est médecin et il a une écriture illisible. Un jour, il m’a écrit un mot pour me dispenser du cours de gymnastique et après l’avoir lu, le professeur m’a donné tout l’argent qu’il avait sur lui. »

Rita Rudner

Du mauvais pied…

Un Australien cagoulé, qui venait de commettre un hold-up chez un bookmaker du Queensland, avait toutes les raisons de croire qu’on ne pourrait le confondre. Malheureusement pour lui, une caméra de sécurité a enregistré l’image de sa semelle, juste après qu’il eut marché dans une crotte de chien. Ça ne devait pas être du pied gauche : les policiers, qui le suspectaient, ont examiné ses chaussures et ont découvert une trace d’excrément identique à celle figurant sur l’image. Dix ans de prison !