blague Hitler

La blague du concours de police

Un candidat policier passe son examen en vue de recevoir :
1 ) Son képi
2 ) Son ceinturon
3 ) Son revolver

L’examinateur lui pose 3 questions :

– Quel personnage a perdu la bataille à Waterloo ?
– Pas de réponse.
– Je suis certain que vous savez la réponse, son nom commence par la lettre N
– Pas de réponse.
– Ensuite, il y a la lettre A.
– Na, Na ….. Navaro ?
– Mais non NA ..NA… puis il y a un P
– NAP, NAP ….. Napoléon ?
– Oui, c’est bien cela. Vous avez droit à votre képi.

– Quel était le nom du grand dictateur allemand en 1940 ?
– Pas de réponse.
– Allons, réfléchissez, son nom commençait par HI
– E.T. ?
– Non, il avait une moustache comme ça (et il met 2 doigts sous ses narines) ?
– Hitler ?
– Bravo, vous avez droit à votre ceinturon.

– Qui a tué Jésus-Christ ?
– Ça, je n’en ai aucune idée.
– Ecoutez, lui dit l’examinateur, rentrez chez vous, nous sommes vendredi, vous êtes fatigué, moi aussi, revenez lundi et de préférence avec la réponse.

Le candidat rentre chez lui, tout fier, avec son képi tout neuf et son beau ceinturon et sa femme lui demande comment s’est passé l’examen ?

Très bien, dit-il, j’ai répondu à 2 bêtes questions, les doigts dans le nez (tu me connais) et on m’a déjà donné ma première enquête.

La visite d’Hitler dans une école

-Toi, mon petit, quel est ton voeu le plus cher pour quand tu seras grand ?
– Devenir riche !
– Ach ! petit égoïste ! Et toi ?
– Epouser la maîtresse !
– Ach ! sales pensées sexuelles ! Et toi ?
– Mourir pour l’Allemagne et pour vous, mein Führer !
– Très bien, mon petit ! Mais dis moi, pourquoi portes-tu ton cartable sur la poitrine ?
– C’est pour cacher l’étoile jaune, mein Führer !

L’assassinat d’Hitler

Pendant la guerre, deux espions belges décident d’assassiner Hitler. Ils font une enquête et découvrent que le Führer se rend chaque jour chez une prostituée, à onze heures trente précises. Le lendemain, à onze heures trente, les deux Belges se postent au coin de la rue, près de la maison close, un revolver à la main, et attendent Hitler. Onze heures trente, rien. Midi, rien. Midi trente, toujours personne. Une heure, toujours rien. Alors l’un des deux Belges dit à l’autre :
– Ben dis donc, pourvu qu’il ne lui soit rien arrivé, une fois ?