blague grossesse

La blague de la paternité de l’avocat

Lorsqu’ils durent employer une secrétaire, les deux jeunes associés de ce cabinet d’avocat ne purent pas résister à s’attacher les services de cette belle jeune fille qui était aussi sexy qu’une actrice porno.
Malgré la promesse qu’ils s’étaient faites l’un à l’autre de ne rien tenter pour la mettre dans leur lit, ce qui devait arriver arriva et la jeune secrétaire finit par tâter des draps de soie de ses deux employeurs.

Mais le bon temps ne dure qu’un temps, et un beau jour, leur secrétaire leur annonça en rougissant qu’elle était enceinte, et que c’était forcément l’un de ses deux patrons qui était responsable de la grossesse.

Peu enclins à prendre leur responsabilité de père, les deux avocats décidèrent de payer à la secrétaire un congé de grossesse sur la Côte d’Azur.

Cinq mois plus tard, sans nouvelle de l’employée, un des avocats se décide à faire le voyage jusqu’à Nice. Le soir même, il téléphone à son associé qui est resté dans le bureau parisien :
– Alors, demande l’autre pour avoir des nouvelles, raconte, elle a accouché ?
– Oui, elle a accouché, répond le premier d’une voix enjouée, mais j’ai quand même à te faire part d’une bonne et d’une mauvaise nouvelle.
– Aïe aïe aïe, commence par la bonne ! lui répond son comparse.
– Eh bien, la bonne nouvelle, c’est qu’elle a eu des jumeaux et qu’elle va bien.
– Formidable, répond l’autre. Et la mauvaise nouvelle ?
– La mauvaise nouvelle, c’est que le mien est mort…

Les formalités du mariage

Un jeune homme se présente au père de sa petite amie :
– Je me rends compte qu’il ne s’agit que d’une formalité, lui dit-il, mais verriez-vous un inconvénient à ce que j’épouse votre fille ?
– Qui a dit que c’était UNE FORMALITÉ ? répond le père en colère.
– Son gynécologue… répond le gars.

La blague du prix du déshonneur

Dans son magasin de confection, le vieux Samuel Wiesenstein accueille sa fille Rachel en pleurs.
– Allons ma petite fille, qu’est-ce qui se passe ?
– Oh papa, si tu savais… Je t’avais dit que je sortais depuis quelques mois avec Jean-Patrick de la Frontinière… Eh bien, je viens d’apprendre que je suis enceinte de lui !
– Enceinte ?! Ma fille ?! Et d’un goy en plus !!! rugit le vieux Samuel. Donne-moi son adresse, je vais aller lui rendre une petite visite à ton Jean-Patrick. Je t’assure qu’il va m’entendre !

Énervé comme pas possible, le vieux Samuel se met au volant de sa vieille Mercedes 220 D et fonce à tout berzingue en direction de l’adresse indiquée. Lorsqu’il arrive sur place, il n’en croit pas ses yeux : au numéro fournit par sa fille, il tombe sur un superbe immeuble sur le toit duquel brille un gigantesque néon publicitaire « Prêt à porter De la Frontinière ».

Mais le vieux Samuel ne se laisse pas impressionner, il entre dans l’immeuble, passe par l’accueil, insiste pour rencontrer Jean-Patrick de la Frontinière himself. On lui demande de patienter pendant que l’on prend contact avec le secrétariat de la direction. Après cinq minutes d’attente, le vieux Samuel a l’autorisation de monter au dernier étage de l’immeuble. Là, il est accueilli par la secrétaire particulière de Monsieur Jean-Patrick de la Frontinière qui le conduit jusqu’au PDG.

Et voilà enfin le vieux Samuel qui entre dans le bureau de celui qui a fait un enfant à sa fille alors qu’ils ne sont même pas mariés ! Il le voit là devant lui et s’apprête à se mettre à l’insulter lorsque Jean-Patrick le prend de vitesse :
– Monsieur Wiesenstein, si vous saviez le plaisir que j’ai à vous voir ! Votre fille Rachel m’a dit tellement de bien de vous. Elle vous adore vous savez. Je pense savoir la raison de votre visite : Rachel est enceinte et nous ne sommes pas mariés. Eh bien je tiens à vous rassurer : je compte lui verser dès maintenant et jusqu’à la majorité de notre enfant une rente mensuelle de 10.000 euros. De plus, je vous propose, puisque vous êtes dans la confection et moi dans le prêt-à-porter de vous offrir la responsabilité de la direction de nos commandes spéciales et de réalisation d’échantillons. Vous seriez gérant de notre filiale, avec un salaire mensuel de 15.000 euros plus un intéressement aux bénéfices.
Alors, qu’en pensez-vous ?

Là, le vieux Samuel reste muet pendant plus d’une minute, ne sachant que dire, et puis enfin il répond :
– Monsieur De la Frontinière, permettez-moi une question : dans le cas où ma petite Rachel ferait une fausse couche, est-ce que vous seriez prêt à lui donner une seconde chance ?