blague gore

Le jeune marié qui aimait la pêche

Un jeune marié en voyage de noces a quitté son épouse pour aller faire une partie de pêche. Sur le bord de la rivière, il rencontre un de ses potes :
– Comment, tu n’es pas avec ta femme ?
– Ben non, tu sais combien j’aime la pêche…
– Tout de même, tu aurais pu rester consommer un peu ton mariage…
– Ben non, elle a une infection vaginale… Et tu sais combien j’aime la pêche.
– D’accord, mais à ce moment là tu pouvais tout de même l’embrasser un peu ?
– Ben non, elle a des abcès dentaires et toutes ses dents sont gâtées… Et tu sais combien j’aime la pêche.
– Bon, mais alors pourquoi tu ne l’as pas emmenée faire une promenade ?
– Impossible, elle a un pied bot. Et tu sais combien j’aime la pêche.
– Excuse-moi, mon pote, mais si elle a autant de problèmes, pourquoi l’as-tu épousée ?
– Ben c’est qu’en plus elle a des vers. Et tu sais combien j’aime la pêche…

Tombé dans les toilettes du chantier

Ça se passe sur le chantier de construction de l’autoroute. Un des manoeuvres dont c’est la première matinée de travail souffre d’atroces crampes d’estomac.

Il va trouver le contremaître pour lui demander où se trouvent les toilettes du personnel. Le contremaître lui répond :
– Tu trouveras des cabines de toilettes portables là-bas sur la butte.

Alors le manœuvre s’en va, le cul serré, dans la direction indiqué par son boss.

Une heure plus tard, le contremaître n’a toujours pas vu le manoeuvre revenir, alors il va voir ce qui se passe. En arrivant sur le lieu d’aisance temporaire, il entend une grande agitation dans une des cabines, alors il crie :
– Mais qu’est-ce qui se passe là-dedans ?

Alors la porte s’ouvre et le manoeuvre apparaît et explique :
– J’ai laissé tomber mon manteau dans le trou et j’essaie de le récupérer avec ce bâton.
– Espèce de débile, ton manteau est foutu maintenant.

Et le manoeuvre répond :
– Je le sais, mais mes sandwichs sont restés dans la poche.

Dessin d'un gros dégueulasse
Tombé dans les toilettes du chantier

Le corsage de la belle

Un brave homme a fait une conquête un soir au bois de Boulogne. Assis sur un banc avec sa partenaire, il entreprend de lui prouver son amour. A tâtons , comme il fait nuit noire, il dégrafe le corsage de la belle y plonge une main avide et gobe la généreuse poitrine qui lui est offerte. Soudain il se redresse :
– Ma parole ! T’as accouché y a pas longtemps : y a du lait qui vient !
– Chic alors ! C’est pas du lait, c’est mon furoncle qui vient de percer !