blague godasse

Le radeau de la chaussure

Un vieux loup de mer marseillais raconte ses naufrages.
– Une fois, je me suis trouvé avec trois copains sur un radeau. Nous fûmes bientôt réduits à manger nos godasses. Hélas ! Je suis le seul survivant !
– Vos camarades étaient sans doute moins forts de constitution ?
– Non, mais j’avais la plus grande pointure.

La vengeance du souffre-douleur

À l’armée, un bleu souffre-douleur doit aller chercher le café aux cuisines, etc. On lui chie même dans les godasses. À Noël, on lui dit que c’est terminé, qu’on ne chiera plus dans ses godasses.
– Bon, alors moi je ne pisserai plus dans le café !

Le secret du pêcheur

Un homme qui est en train de pêcher retire de l’étang pour la quatrième fois, une vieille chaussure.
– C’est incroyable s’exclame un badaud ! Quatre vieilles godasses…
– J’ai un secret, dit le pêcheur, j’appâte avec une vieille chaussette !

La pêche en Méditerranée

Un gamin pêche dans la Méditerranée et un touriste s’approche.
– Ça mord ?
– J’ai remonté une vieille godasse et trois boîtes de conserves ! répond le garçon.
– Tu n’es pas découragé ?
– Non, j’approche du but. La dernière boîte était une boîte de sardines !

La blague du jeune chat

Deux matous, un soir, décident d’aller « tirer un coup ». Un jeune chat les entend en parler.
– Allez, les gars, soyez chouettes, emmenez-moi, moi aussi j’veux tirer un coup !
– Dégage, t’es trop jeune, tu sais même pas c’que c’est…
– Oh allez, s’il vous plaît…
– Bon ok, viens avec nous.

Les voilà partis, la nuit, sur les toits à la recherche de l’âme sœur.
– MIIIIIIAAAAAAAOOOUUUUUUUUUUUUU ! MMMMIIIAAAAAAOUUUUUU !

Une fenêtre s’ouvre et une godasse vole dans les airs. Les deux matous, expérimentés, s’écartent… et vlan, la godasse dans la gueule du jeune chat.
– Allez les gars, on va ailleurs.

Arrivés ailleurs : MMMMIIIAAAAAAOUUUUUU ! MIIIIIIAAAAAAAOOOUUUUUUUUUUUUU !
Une fenêtre s’ouvre, un vieux vase décolle, même scénario et paf, le jeune chat.

Un des matous :
– Bon allez, on va ailleurs

Alors, le jeune chat :
– Eh les gars, j’vous préviens, j’tire encore un coup et j’rentre…