blague George W. Bush

La blague de la drague texane

L’ex-président, George W. Bush, en bon Texan, fait quotidiennement une balade à cheval ; et depuis quelque temps, il croise chaque fois une femme magnifique qui ne lui jette pas un regard. À tel point qu’il ne songe plus qu’à la conquérir ; mais il est un peu emprunté, et il décide de demander conseil à un french lover, le seul qu’il connaisse, Nicolas Sarkozy…
– Élémentaire, mon cher George ! Tu dois dans un premier temps attirer son attention. Par exemple, fais peindre ton cheval en bleu. Quand vous vous croiserez, elle te demandera à coup sûr : « Why did you point your horse in blue ? »
– Do you mean I fuck her at once ?
– Oh, no ! Not yet ! répond Sarkozy. Il faut ensuite l’inviter à prendre un verre…
– Then I fuck her ?
– Pas si vite ! Emmène-la faire quelques promenades dans la campagne…
– And I fuck her ?
– Pas de précipitation ! Invite-la ensuite dans un restaurant un peu chic…
– So I fuck her ?
– Mais non, tu vas trop vite ! Propose-lui un petit voyage romantique, dans un endroit exotique, genre Bangkok…
– And there I fuck her ?
– Là, oui… si tu veux… tu pourras…
George W. remercie chaleureusement Nicolas, et décide d’appliquer son plan.

Dès le lendemain son cheval est peint en bleu, et il croise la divine créature, qui le remarque enfin :
– Why did you point your horse in blue ?

Et George W., sûr de lui et épanoui lui réplique :
– To fuck you in Bangkok !

La guerre de Bush en Europe

Le Président George Bush est assis dans le fauteuil de son bureau Ovale, en train de se demander quel pays il pourrait bien envahir à la suite de l’Irak pour se faire à nouveau réélire les Républicains à l’issue de son second mandat…

Quand tout à coup, son téléphone se met à sonner…
– Bonjour, Monsieur le Président, dit une voix avec un fort accent belge. C’est Willy Vandeputte, président du cyclo-club namurois en Belgique. Fieu, je t’appelle pour te dire que que nous déclarons officiellement la guerre aux États-Unis !
– Hem, eh bien Willy, répond Dobelyou, c’est en effet une nouvelle importante ! Quelle est la taille de votre armée ?
– En ce moment, répond Willy après un moment de réflexion, on est moi, mon cousin Rudy, Eddy mon voisin d’à côté, et toute l’équipe du vélo-club namurois. Ça fait huit !

George l’arrête :
– Je dois vous dire Mister Vandeputte, que j’ai un million d’hommes dans mon armée qui n’attendent que mon ordre pour envahir la Belgique.
– Gotferdom, s’exclame Willy. Faut que je te rappelle, fieu !
Et il raccroche.

Évidemment, le jour suivant, Willy appelle à nouveau Bush :
– M. Bush, la déclaration de guerre est toujours d’actualité ! Nous sommes parvenus à acquérir de l’équipement d’infanterie !
– Et quel équipement avez-vous donc à présent M. Vandeputte ?
– Eh bien, nous avons deux moissonneuses-batteuses, un caterpillar, et le tracteur et la remorque de la ferme de Jeff.

Le Président Bush soupire.
– Je dois vous dire, Willy, que j’ai 16.000 chars Abrahams et 14.000 blindés légers. En outre, j’ai rappelé les réservistes de la Garde Nationale, et mon armée compte 500.000 hommes de plus que depuis notre dernier coup de fil.
– Potverdek, lâche Willy, je vais te rappeler, laisse-moi un jour ou deux !

Comme il fallait s’y attendre, Willy rappelle le jour suivant :
– Président Bush, la guerre est toujours pour demain ! Nous avons monté notre propre flotte aéronautique nous même ! Nous avons récupéré l’avion d’épandage de pesticides de la coopérative et on a mis tous nos fusils de chasse dans l’habitacle, soyez prêts à recevoir des pruneaux, des plombs, et même une bonne dose de D.D.T. s’il le faut !

Deubeulyou reste silencieux un moment, puis il se racle la gorge et dit :
– Monsieur Vandeputte, l’armée U.S. compte 10.000 bombardiers et 20.000 avions de combat. De surcroit, mon dispositif militaire est secondé par des batteries de missiles sol-air à guidage laser. Et depuis que nous avons parlé ensemble la dernière fois, j’ai fait passer mon armée à deux millions d’hommes !
– Jésus, Marie, Joseph ! renacle Willy, j’vais t’rappeller.

Comme prévu, le jour suivant, Willy rappelle Deubeulyou :
– Président Bush ! Je suis désolé de devoir vous dire qu’on va devoir faire une croix sur cette guerre.
– Oh, je suis bien triste d’entendre ça, répond Bush. Et quelle la raison de ce revirement si soudain ?
– Eh bien, monsieur, avoue Willy, on s’est tous assis autour d’une bière avec les copains et on a eu une longue conversation. Après quelques pintes de Chimay, on en est arrivé à la conclusion qu’on ne trouverait jamais assez de place et de nourriture par chez nous pour deux millions de prisonniers !

L’injustice de l’amour

Les perles : la politique

« Voyez-vous, nous aimons la liberté. C’est ce qu’ils n’ont pas compris. Ils haïssent les choses, et nous, nous aimons les choses. Ils agissent par haine, et nous, nous ne cherchons pas à nous venger, mais nous cherchons la justice de l’amour. »

(George W. Bush)