blague général

Le divorce général

Devant le juge des divorces, la femme d’un général en retraite explique :
– Je n’en peux plus : mon mari a l’habitude de chanter dans son bain.
– Je ne vois pas là un motif de divorce.
– Vous croyez, peut-être, gémit la dame, que c’est facile de l’accompagner au clairon, comme il l’exige, tout en lui savonnant le dos avec l’autre main ?

La statue équestre

En découvrant la statue d’un général, natif de la ville, le maire s’étonne :
– C’est bien la première fois que je vois une telle composition : d’un côté un cheval cabré et, allongé par terre, le héros à honorer.
– C’est que, explique le sculpteur, en lisant tous les livres qui lui ont été consacrés, j’ai appris que le général avait toujours été très mauvais cavalier.

La blague du pénis de Charles De Gaulle

Lorsque le général De Gaulle décida de se retirer de la vie publique et politique, l’ambassadeur britannique et sa femme invitèrent M. et Mme De Gaulle à un dîner donné en leur honneur.

À la table des hôtes, Madame l’ambassadeur entretenait la conversation avec Madame De Gaulle :
« Votre mari a été et est encore un homme politique vraiment très important. Il est exceptionnel qu’une personne ait une telle présence en France et sur la scène internationale pendant autant d’années ! Comme la retraite va vous sembler calme en comparaison du rythme de vie que vous aviez précédemment. Qu’est-ce que vous attendez le plus de ces années que vous allez passer à Colombey ? »

« A penis », répondit Madame De Gaulle.

Un silence assourdissant (sic) envahit alors la salle. Tout le monde avait entendu la réponse faite par Yvonne De Gaulle et personne n’en croyait ses oreilles…

Charles De Gaulle brisa alors le froid ambiant en se penchant vers son épouse et en lui disant :
« Ma chérie, je crois que nos amis anglais prononcent ce mot différemment. Ils disent ‘Happiness!’ »

Les putes du Général et de l’Amiral

Un général et un amiral qui ne peuvent pas se blairer se retrouvent ensemble chez le barbier de l’état major chez qui ils se font raser tous les matins.

Tous les deux ont fini d’être rasé en même temps, et à la fin du rasage, le troufion qui rasait le général s’apprête à lui passer un peu d’après-rasage… mais le général s’écrie :
– PAS DE CE MACHIN SUR MOI MALHEUREUX ! SINON MA FEMME VA CROIRE QUE J’AI ÉTÉ CHEZ LES PUTES…

Alors l’amiral se tourne vers son troufion barbier et lui dit :
– VAS-Y TU PEUX M’EN METTRE À MOI. MA FEMME NE SAIT PAS CE QUE ÇA SENT UNE PUTE !