blague galipette

Une blague ou bien quoi ?

Un homme va voir son médecin et lui dit que sa très jolie femme ne veut plus faire l’amour avec lui depuis plus de six mois.

Le doc lui répond qu’il n’a qu’à lui envoyer sa femme et qu’il aura un entretien avec elle. Alors la jeune femme consulte le médecin, qui lui demande ce qui ne tourne pas rond, et pourquoi elle n’est plus inspirée pour faire l’amour avec son mari.

Et la femme raconte :
– Tous les matins depuis six mois, je prends le taxi pour aller travailler. Mais j’ai pas d’argent alors le chauffeur de taxi me dit : « Vous allez payer aujourd’hui ou bien quoi ? », et moi je lui réponds que je vais prendre le « ou bien quoi… ». Ensuite j’arrive au travail, mais naturellement, je suis en retard. Alors le patron me dit : « Je consigne le retard ou bien quoi ? », et moi je lui réponds que je vais prendre le « ou bien quoi… ». Le soir, pour rentrer chez moi, je reprends le taxi. Et le chauffeur me dit en arrivant : « Vous allez payer ou bien quoi ? » et je reprends le « ou bien quoi… ». Alors vous voyez docteur, quand je suis chez moi, le soir, je suis trop fatiguée et je n’ai vraiment plus le goût de faire des galipettes avec mon mari !

Pendant quelques secondes, le docteur a l’air songeur, puis il dit :
– Alors, on va expliquer tout ça à votre mari, ou bien quoi ?

Le bon âge pour les magazines pornographiques

Le commissaire de police, venu acheter un quotidien à la librairie-tabac-journaux de son quartier, fronce les sourcils en voyant un gamin d’une huitaine d’années emporter un magazine danois particulièrement gratiné.
– Vous n’avez pas honte, dit le policier à la commerçante, de vendre à cet enfant des revues pornographiques ?
– Mais, proteste-t-elle, c’est pour son bien.
– Comment cela ?
– Vous pensez bien que les galipettes de ce genre-là, à son âge, ça ne l’intéresse pas. Par contre, elles lui évitent, chaque semaine, une bonne correction, depuis qu’il a trouvé l’astuce de glisser un de ces magazines dans son bulletin de notes, au moment de le faire signer par son père.