blague explorateur

Encore des explorateurs belges au Sahara

Ce sont deux explorateurs belges qui se croisent dans le Sahara. Ils se sont perdus..
– On va mourir ici, dit le premier. Ça fait quinze jours que je n’ai pas bu un verre.
– Moi non plus, une fois…
– Tiens, vous êtes Belge ? Moi aussi ! C’est drôle de se rencontrer en plein désert ! Vous êtes d’où ?
– De Bruxelles.
– Ah ça, une fois, c’est incroyable, moi aussi je suis de Bruxelles ! Et vous habitiez où, à Bruxelles ?
– J’habitais place de Bruges.
– Oh c’est pas possible, moi aussi j’habitais place de Bruges ! A quel numéro ?
– J’habitais 3, place de Bruges.
– Oh, moi j’habitais le 2 ! C’est con, on aurait pu rentrer ensemble !

Les tribus et la ruse de guerre

Deux tribus se livrent bataille depuis de décennies et la première tribus se fait toujours massacrer. Un explorateur décide d’aider la faible tribus.
– Bonjour à toi grand chef. Je vais t’expliquer comment on gagne lorsqu’on est plus faible.

Le missionnaire met sa main devant un mur et dit :
– Frappe Le chef interloqué ne sait que faire.
– Frappe je te dis !

Le chef se décide et assène un violent coup de poing sur la main de l’explorateur, qui retire vivement sa main laissant le chef hurler de douleur.
– Ça c’est la ruse, c’est avec ça que vous gagnerez !

Le chef, ayant compris la leçon, s’empresse d’aller enseigner ce qu’est la ruse à ses guerrier.
– Ecoutez-moi, j’ai le secret pour vaincre.
– Que faut-il faire, Oh grand chef ?
– Il faut utiliser la ruse…
– Mais qu’est ce que la ruse ?

Le chef met alors sa main devant et son visage et lui dit :
– Frappe !

Le vieil explorateur qui raconte une histoire

Un vieil explorateur est convié à une soirée chez la comtesse de Mormoilneux. Après le dîner, celle-ci lui demande de raconter une de ses expéditions. Le vieux commence (voix chevrotante) :
– Je marchais au milieu de la jungle avec mes dix porteurs depuis plusieurs jours. Tout à coup, les oiseaux et les singes se sont tus, il s’est fait un grand silence, et nous avons entendu un rugissement tout près de nous !

L’assistance, captivée :
– Oooh ! et alors ?
– Alors, nous nous sommes arrêtés. Nous avons alors vu les buissons s’écarter, dix mètres devant, et un ENORRME lion en surgir, l’air affamé.
– Oooh ! et alors ?
– Alors il nous a regardés, et s’est léché les babines ! A ce moment, tous mes porteurs se sont enfuis en courant, me laissant sans aide et sans guide, seul face au fauve !
– Aaah ! et alors ?
– Alors, j’avais heureusement gardé mon fusil avec moi. Je l’ai épaulé, j’ai visé le lion… et mon fusil s’est enrayé !
– Aaah ! et alors ?
– Alors, j’ai dégainé mon revolver, et j’ai tiré en direction du lion ! Mais ce putain de revolver s’est lui aussi enrayé !
– Oooh ! et alors ?
– Alors, je n’ai plus eu d’autre choix que de sortir mon Opinel, et de me préparer à un corps à corps avec le lion ! Celui-ci s’est alors avancé vers moi en grondant, et il s’est arrêté à deux mètres, et il a poussé un énorme rugissement, comme ça (et le vieux imite le rugissement) : « RRRAAAAOOOUHUMMMMMFFFF ! »
– HIIII ! ET ALORS ?
– Ben, fait le vieux, penaud, je crois que j’ai chié dans mon froc !

Un silence gêné s’établit. Fort civile, la maîtresse de maison tente de rattraper le coup :
– Hum, eh bien, après tout, compte tenu des circonstances extrêmes, n’est ce pas, c’était peut être compréhensible que vous vous laissiez aller, non ?
– Non, non, explique le vieux, c’est maintenant, là, en faisant « RRRAAAAOOOUHUMMMMMFFFF ! », que j’ai chié dans mon froc.

L’explorateur au pôle Nord et le Sénégalais

C’est un explorateur qui arrive au pôle Nord en bateau. Et qu’est-ce qu’il voit ? Qu’est-ce qu’il voit sur un iceberg en plein milieu de l’océan Arctique, qu’est-ce qu’il aperçoit ? Un Sénégalais tout nu sur une banquise. Alors là, ethniquement, c’est bizarre. Alors il prend un porte-voix et il lui fait :
– Pardon, monsieur : Esquimau ?

Et l’autre lui fait :
– Non, non ! chocolat glacé !

Les mirages du désert

Un explorateur, qui erre depuis plusieurs jours dans le désert, sous un soleil brûlant, se met à crier :
– Là-bas, au milieu du sable, regarde :  un verre d’au moins dix mètres de haut, plein d’eau pétillante, avec, à côté, une échelle pour y grimper.
– Ne nous réjouissons pas trop vite, répond son compagnon d’infortune : Si ça se trouve, il n’y a même pas de whisky pour aller avec.