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L’ordinateur est une drôle de drogue

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Comment savoir si vous êtes drogué à l’ordinateur ?

1 ) En vous réveillant le matin a 7h, vous faites un backup puis vous levez a 11h en repartant de l’état sauvegardé.

2 ) Votre dernière pensée avant de sombrer dans le sommeil est « shutdown completed ».

3 ) Vous appuyez sur le mauvais bouton dans l’ascenseur et cherchez le bouton CANCEL, ne le trouvant pas vous vous étonnez de la pauvreté de l’interface utilisateur.

4 ) Vous double-cliquez sur les boutons d’ascenseur.

5 ) Quand vous lisez un livre, vous appuyez sur la barre d’espace pour tourner les pages.

6 ) Quand vous fermez une fenêtre, vos doigts se mettent automatiquement en position F4.

7 ) En parlant des nombre ronds vous pensez à : 2, 4, 8, 16, 32, 64, 128, … 65536.

8 ) En train, vous regardez le scrolling du paysage.

9 ) Vous rêvez en 256 palettes de 256 couleurs.

10 ) En essayant de vous endormir vous pensez à : sleep(8*3600); /* sleep for 8 hours */ .

11 ) Vous composez un numéro IP en essayant d’appeler quelqu’un au téléphone.

12 ) Non seulement vous vérifiez votre e-mail plus souvent que votre boite aux lettres, mais vous vous rappelez plus facilement de votre adresse e-mail que de votre snail-mail.

13 ) Vous rédigez vos chèques en hexadécimal.

Les trois moines très très pieux et la journée de péché

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Il y avait une fois trois moines très très pieux. Ces moines étaient si pieux qu’un jour, le Père supérieur décida de les récompenser de leur dévotion en leur accordant à chacun une journée complète de péché, mais à la condition expresse qu’ils se confessent à lui à la fin de la journée.

Le jour convenu, les trois moines partirent en ville pour aller se débaucher à leur convenance.

Le premier moine rentre au monastère vers 1 h 00 du matin, et essaie d’aller se coucher sans bruit, mais le Père supérieur qui attend tapis dans l’ombre lui met le grappin dessus et lui demande de raconter sa journée.
– Non mon Père, ce que j’ai fait est trop mal j’ai trop honte, jamais je ne pourrais me confier.
– Le marché que nous avons passé vous oblige pourtant à me dire exactement TOUT ce que vous avez commis comme péché. Autrement, vous n’aurez pas l’absolution !

Alors le premier moine se laisse convaincre et confesse :
– J’ai … J’ai bu ! Et non seulement ça, mais j’ai aussi goûté à la drogue : J’ai fumé des cigarettes, puis on m’a proposé de fumer des sachets de thé. J’ai même sniffé du détartrant à cafetières…
– Assez ! Ce sont des péchés diaboliques. Mais un marché étant un marché, je vous donne malgré tout mon absolution, sous réserve que vous alliez dire quelques prières, et que vous vous purifiez la bouche en buvant de l’eau bénite.

Le moine remercie le Père supérieur et s’en va appliquer ses recommandations.

Le deuxième moine rentre au monastère vers 2 h 00 du matin. Comme pour le premier, il se fait « attraper » par le Père supérieur qui lui demande de lui raconter sa nuit.
– Je … je me suis laissé aller à d’ignobles perversions sexuelles : J’ai fait l’amour avec des filles à la vertu minuscule, elles étaient plusieurs et je ne suis même pas sûr qu’elles étaient majeures ; J’ai honte mon Père.
– Cela suffit. J’ai promis l’absolution mais il ne faudrait pas me forcer à entendre des ignominies. Allez dire des prières et vous purifier en buvant un verre d’eau bénite.

Le troisième moine rentre finalement à 3 h 00 du matin :
– Alors mon fils. Qu’avez-vous fait comme péché ?
– Mon Père, cette nuit j’ai… Oh non, je n’y arriverai pas. Vous n’auriez jamais du nous permettre de nous laisser aller à commettre des péchés.
– Respectez notre accord : Dites-moi ce que vous avez commis comme péché.

Le moine penche la tête et dit :
– D’accord mon Père. Cette nuit j’ai…
– Oui ?
– Cette nuit j’ai fait pipi dans le bénitier.

Drogue : une méthode de sevrage

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Deux jeunes garçons se font prendre par la police alors qu’ils fument de l’herbe. Ils passent dans la journée devant le juge qui leur dit :
– Vous me semblez être de bons garçons et j’aimerai vous donner une seconde chance avant de vous expédier en prison. Je veux que passiez cette fin de semaine à convaincre le plus de personnes possible des méfaits liés à la drogue, et si vous rencontrez des personnes qui se droguent, tentez de les convaincre d’arrêter. Je vous reverrai ici même lundi pour faire le bilan.

Lundi arrive et nos deux p’tits gars sont de retour devant le juge. Le juge demande au premier :
– Alors, qu’avez-vous fait cette fin de semaine ?
– Votre honneur, j’ai réussi à convaincre 17 personnes d’arrêter totalement d’utiliser de la drogue.
– 17 personnes ? C’est très très bien. Comment êtes-vous arrivé à cela ?
– Je leur ai montré un petit dessin, votre honneur. J’ai dessiné deux cercles comme cela :

Puis je leur ai dit : « Ceci (le grand cercle) c’est votre cerveau avant la drogue et ceci (petit cercle) c’est votre cerveau après la drogue. »
– Excellente démonstration ! dit le juge. Et vous (au deuxième garçon), quel est votre bilan ?
– Votre honneur, j’ai persuadé 156 personnes d’abandonner la drogue à jamais.
– 156 personnes ! c’est incroyable ! comment avez-vous réussi cela ?!
– Et bien j’ai utilisé la même approche. (Il dessine les 2 mêmes cercles)… Je leur ai dit (pointant le petit cercle) : « Ça, c’est votre trou du cul avant la prison… »