Se dit d’une personne qui vient de consommer du cannabis. « Je suis foncedé. » (Mon regard est vitreux, je perds mes mots, un mince filet de bave s’écoule sur mon menton et je rigole comme un décérébré, sans aucune raison. J’ai payé assez cher pour me mettre dans cet état. Bref: je viens de consommer du cannabis.)
Deux dealers sont devant le juge. La maison d’arrêt étant pleine il leur fait une proposition : – Si vous arrivez à me convaincre un maximum de jeunes que la drogue est nocive je vous laisse en liberté !
Quinze jours plus tard, ils sont reçus chez le juge qui demande au premier combien de personnes il a réussi à convaincre : – Sept, répond le premier. – Bien dit le juge et comment t’y es-tu pris ? – C’est simple j’ai dessiné deux ronds, un grand et un petit et je leur ai dit que le grand cercle représentait la taille de leur cerveau avant qu’ils fument un joint et le petit rond c’est la taille de leur cerveau quand ils ont fumé un joint ! – Bien dit le juge.
Il demande alors au second s’il a réussi à convaincre des jeunes… – Soixante-dix, monsieur le juge ! – Ah oui ! Et comment as-tu fais ? – C’est simple j’ai fait comme l’autre, j’ai dessiné un grand et un petit rond et leur ai expliqué que le petit rond représentait la taille de leur anus avant de faire de la tôle…
C’est l’histoire d’un mécanicien qui travaillait sous une voiture. Malencontreusement, une goutte de liquide de freins lui tomba dans la bouche. – Waow ! Ce truc a un goût excellent, se dit-il.
Le jour suivant, il parle de son expérience à son collègue de travail et lui dit qu’il en goûtera encore un peu aujourd’hui, « pour voir ». L’ami ne trouve pas cela tellement normal, mais il ne dit rien.
Le jour d’après, le mécano dit à son ami qu’il envisage d’en boire à nouveau, l’équivalent d’une tasse à café, et le jour suivant, il pense carrément passer au bidon complet.
Cette fois, le collègue de travail est vraiment inquiet. Il lui dit : – Tu sais que le liquide de frein c’est du poison. Et je pense que tu es en train de devenir dépendant à ce poison…
Alors l’autre lui répond : – Bah, t’inquiète pas. C’est du liquide de freins, alors, je m’arrête quand je veux.