blague dot

Le viveur de la Belle Époque

A la Belle Epoque, un viveur se plaignait à sa femme :
– Ton père ne se presse guère pour me verser ta dot.
– Ne sois pas injuste. Il nous la donne petit à petit.
– Peut-être, mais moi, je t’ai épousée d’un seul coup.

Le prix du divorce

Un jeune homme dit au riche banquier auquel il vient de demander la main de sa fille :
– Je vais vous proposer une affaire qui va sûrement vous intéresser. Doublez la dot prévue : je renonce à votre fille et je séduis votre femme au point de la convaincre de divorcer d’avec vous pour m’épouser.

Le prix d’une vie convenable

– Alors, comme cela, dit une commerçante au jeune homme venu lui rendre visite, vous voulez épouser ma fille ?
– Oui, madame.
– Avant d’en parler à mon mari, je voudrais savoir si vous avez de quoi lui faire mener une vie convenable. Combien gagnez-vous par an ?
– 100 000 euros.
– Oh ! mais c’est très bien. Pour notre part, nous donnerons à notre fille 80 000 euros, chaque année…
– Je sais. Et dans mes 100 000 euros, je les ai déjà comptés.