blague dernières volontés

Les dernières bonnes volontés

Les perles : la justice

Marcel Delrue, guillotiné en 1952, s’adresse une dernière fois à son avocat : « Je veux que vous buviez du champagne à ma santé. Cela me rendra heureux au paradis. » Il avait même pris soin d’écrire préalablement au directeur de la prison : « Le dernier matin, dites à mes geôliers d’avoir le sourire. Que j’emporte le souvenir de visages amicaux. »

La blague de la plus jolie pierre

C’est une femme dont le mari vient de mourir. Elle reçoit la visite d’une amie pour le thé, et se confie à elle :
– mon mari avait pensé à tout, lui dit-elle. Juste avant de mourir, il m’avait appelé à son chevet et il m’avait donné trois enveloppes. « Chérie », m’a-t-il dit, « J’ai placé mes dernières volontés dans ces trois enveloppes. Après ma mort, tu les ouvriras, et tu respecteras scrupuleusement les indications que j’y ai reportées. Ainsi je pourrai me reposer en paix ».
– Et qu’y avait-il dans ces enveloppes ? demande l’amie.
– La première enveloppe contenait 5000 euros et ce mot : « Prends cet argent pour acheter un joli cercueil ». Alors je lui ai choisi un superbe cercueil en acajou très bien rembourré et avec une doublure en soie. Comme ça je sais qu’il se repose dans ce qu’il y a de plus confortable. La deuxième enveloppe contenait 10.000 euros et ce mot : « Prends cet argent pour organiser des belles funérailles et organise un banquet pour mes amis ensuite ». Alors j’ai fait comme il a dit et aussi bien les funérailles que le repas qui a suivi étaient vraiment très bien.
– Et la troisième enveloppe ? demande l’amie intriguée.
– La troisième enveloppe contenait 25.000 euros et ce mot : « Prends cet argent pour acheter la plus jolie pierre ».

Et levant la main, elle met sous le nez de son amie une bague sertie d’un diamant de dix carats en ajoutant : « Alors, qu’est-ce que tu penses de cette pierre ? »

L’histoire de l’homme brimé

C’est l’histoire d’un homme qui a toujours été dominé par les femmes. Sa mère était une mégère, sa femme était possessive, et même au bureau, il avait fait toute sa carrière sous les ordres d’une chef de service tyrannique.

A peine fut-il en retraite qu’il succomba à une crise cardiaque. Après les obsèques, sa famille se retrouve chez le notaire. Celui-ci ouvre le testament et lit :
« Voici mes premières volontés… »

Les dernières volontés du monsieur très riche

Un monsieur très riche a appelé son notaire sur son lit de mort car au dernier moment, il veut changer ses dernières volontés…
– Je veux laisser tout ce que je possède, actions, titres de propriétés, immeubles et tableaux de maîtres, je veux tout laisser à ma femme, mais avec une condition…
– Et quelle est elle ? demande le notaire.
– Si elle veut tout hériter de moi, ma femme doit se remarier dans les six mois qui suivent ma mort !

Le notaire est assez désabusé par la condition demandée par son client, et il demande :
– C’est assez inhabituel comme condition. Vous avez une explication pour cela ?
– Oh oui ! C’est parce que de cette façon, je suis sûr qu’au moins une personne regrettera ma mort.

Alors le notaire commence à rédiger le nouvel acte… Et puis le mourant l’interrompt pour lui faire une recommandation de plus :
– Dans mes dernières volontés, ajoutez que je veux être incinéré et qu’ensuite mes cendres soient dispersées dans la mer.

Le notaire à qui on ne la fait pas demande tout de suite pourquoi, et le vieux répond :
– C’est juste pour le cas où ma femme voudrait faire ce qu’elle a toujours dit qu’elle ferait à ma mort… danser sur ma tombe.

Le pingre, son avocat, son curé et son médecin

blague pingre, blague radin, blague curé, blague médecin, blague avocat, blague dernières volontés, humour

Un vieux pingre va mourir seul, sans famille et sans ami.

Peu avant sa mort, il reçoit son avocat, son docteur et son curé pour leur donner à chacun 10.000 euros en espèces avec pour mission d’enterrer cet argent avec lui le jour de ses funérailles, en guise de « Geste ».

La mort et l’enterrement ont lieu une semaine plus tard.

Après l’ensevelissement, le curé, le docteur et l’avocat discutent :

Le curé leur confie que son église ayant un besoin urgent d’un nouveau clocher, il a gardé 4.000 euros pour sa réfection.

Le docteur, qui était un scientifique faisant des recherches sur le cancer, confesse que lui aussi a gardé de l’argent : 6.000 euros pour continuer ses recherches.

L’avocat les blâme :
– Comment pouvez-vous être si malhonnêtes ? Moi au moins j’ai placé dans le cercueil un chèque du montant total qu’il m’avait remis ?