blague départ

Le représentant dans la région épouvantable

Un représentant, accablé par les huit jours qu’il vient de passer dans une région épouvantable, va déjeuner dans la seule auberge du village et commande le menu du jour. Au moment où la serveuse lui apporte le plat de résistance, il l’examine avec attention et s’écrie :
– Mais cette bête a des ailes !
– En effet, dit la serveuse, étonnée. Et alors ?
– Alors, je ne veux pas d’un truc qui a des ailes et qui n’en a pas profité pour quitter ce sale patelin.

Le lavage avant l’école

– Tu ne t’es pas lavé, avant de partir pour l’école, dit une dame à son jeune fils et je le prouve. J’avais caché une pièce de 2 euros sous le savon, pour que tu t’achètes des carambars, et je viens de regarder : elle y est encore.

Le curé du village et le départ au Paradis

C’est dimanche, et le Père Barnabé a décidé de frapper un grand coup : à l’heure de la messe, il rentre dans le café du village et s’adresse à un des maris accoudés au bar (un de ceux qui n’ont pas accompagné leur femme à l’église) :
– Dis moi Gilbert, n’as-tu pas envie d’aller au Paradis ?
– Si bien sûr Monsieur le curé, répond Gilbert.
– Alors mets-toi là contre ce mur.

Puis le père Barnabé s’adresse à un deuxième gars :
– Et toi Maurice, n’as-tu pas envie d’aller au Paradis ?
– Ben… si mon père…, répond Maurice.
– Alors mets-toi là aussi contre le mur.

Enfin le père Barnabé s’adresse à Raymond, le mari de d’Henriette, celui « Qu’est un peu simplet » :
– Et toi Raymond, Dis moi, n’as-tu pas envie d’aller au Paradis ?
– Ah ça non m’sieur l’curé !
– Quoi ? Tu veux dire qu’à l’heure de ta mort ça ne te feras rien de ne pas aller au Paradis rejoindre ta famille et tous ceux que tu aimes ?

Et là Raymond répond :
– Oh si, bien sûr. Si c’est pour quand je mourrai, ça va. Je croyais que vous formiez un groupe pour partir maintenant…