blague demande en mariage

L’amoureux écossais insomniaque

Dans une petite ville d’Ecosse, une jeune fille questionne le garçon avec lequel elle flirte, depuis quelque temps :
– Avez-vous parlé à maman ?
– Oui.
– Lui avez-vous dit que votre amour pour moi était si violent qu’il vous empêchait de dormir ?
– Oui.
– Alors, elle vous a accordé ma main ?
– Non. Mais elle demandera à son mari de me donner une place de veilleur de nuit dans son établissement.

Un astucieux entremetteur jésuite

Un jeune homme pauvre de la meilleure société se confie à son directeur de conscience, un jésuite.
– C’est épouvantable, lui explique-t-il, je voudrais épouser la fille de Durand, le grand fabricant de réfrigérateurs, mais je sais que ce beau rêve n’a aucune chance de se réaliser en raison de notre différence de fortune.
– En ce cas, répond le jésuite, je ne vois qu’un moyen : faites-vous couper ce que Pierre Perret a joliment baptisé les compagnes du « Petit Chose » : les deux orphelines.
– Jamais, rugit le jeune homme. Pas pour cent millions !
– Très bonne réponse, enchaîne le jésuite. Maintenant, laissez-moi aller voir votre futur beau-père. Je me charge de tout.

Et, quand l’industriel fait l’objection attendue :
– Mais votre protégé n’a pas de fortune…
– Pas de fortune ! proteste l’astucieux intermédiaire. Alors qu’il possède une propriété de famille dont, il y a encore moins d’une heure, je l’ai entendu, de mes oreilles, refuser cent millions !

Le prix d’une vie convenable

– Alors, comme cela, dit une commerçante au jeune homme venu lui rendre visite, vous voulez épouser ma fille ?
– Oui, madame.
– Avant d’en parler à mon mari, je voudrais savoir si vous avez de quoi lui faire mener une vie convenable. Combien gagnez-vous par an ?
– 100 000 euros.
– Oh ! mais c’est très bien. Pour notre part, nous donnerons à notre fille 80 000 euros, chaque année…
– Je sais. Et dans mes 100 000 euros, je les ai déjà comptés.