blague défunt

L’âne du village

Un curé de campagne découvre un beau matin, un âne mort devant sa porte. Il téléphone aussitôt au maire de la commune et demande qu’on enlève le corps.
– Mais, monsieur le curé, c’est votre métier d’enterrer les morts !
– C’est juste, mais la loi m’oblige à consulter la famille du défunt.

Veuve, mais pas folle !

Les perles : les assurances

« Croyez bien que ce n’est pas de gaieté de cœur que je viens vous réclamer l’assurance vie de mon défunt mari, l’argent n’ayant jamais étanché les larmes d’une veuve. Pour en finir au plus vite avec ces tristes formalités, je vous demanderai donc de bien vouloir m’adresser le chèque par retour de courrier. »

La peine de l’héritage

A l’enterrement d’un riche industriel, un homme pleure à chaudes larmes. Pourtant, personne dans la famille ne le reconnaît. Mais il pleure avec tant de sincérité qu’un cousin du défunt s’approche :
– Pourquoi êtes-vous si triste, monsieur ?
– Cette mort, c’est affreux ! répond l’étranger.
– C’est vrai, reprend le cousin, mais je ne comprends pas votre réaction, vous ne faites même pas partie de la famille…
– C’est justement pour ça que je pleure !