blague décès
La blague du voyage vers l’enfer
Un couple parisien décide de partir en week-end à la plage et de descendre au même hôtel qu’il y a 20 ans, lors de leur lune de miel. Mais, au dernier moment, à cause d’un problème au travail, la femme ne peut pas prendre son jeudi. Il est donc décidé que le mari prendrait l’avion le jeudi, et sa femme le lendemain.
L’homme arrive comme prévu et après avoir loué la chambre d’hôtel, il se rend compte que dans la chambre il y a un ordinateur avec connexion à Internet.
Il décide alors d’envoyer un courrier à sa femme. Mais il se trompe en écrivant l’adresse sans s’en rendre compte.
C’est ainsi qu’à Perpignan, une veuve qui vient de rentrer des funérailles de son mari mort d’une crise cardiaque reçoit le courriel. La veuve consulte sa boîte aux lettres électronique pour voir s’il n’y a pas de messages de la familles et/ou des amis.
C’est ainsi qu’à la lecture du premier d’entre eux, elle s’évanouit. Son fils entre dans la chambre et trouve sa mère allongée sur le sol sans connaissance, au pied de l’ordinateur. Sur l’écran, on peut lire le message suivant :
« À : Mon épouse bien-aimée
Objet : Je suis bien arrivé
Tu seras certainement surprise de recevoir de mes nouvelles maintenant et de cette manière. Ici, ils ont des ordinateurs et tu peux envoyer des messages à ceux que tu aimes. Je viens d’arriver et j’ai vérifié que tout était prêt pour quand tu viendras me rejoindre, demain vendredi. J’ai hâte de te revoir. J’espère que ton voyage se passera aussi bien que s’est passé le mien.
P.S. : Il n’est pas nécessaire que tu apportes beaucoup de vêtement. Il fait une chaleur d’enfer ici ! »
La Pijot de la mort
Le pôv Mustafa décède et sa veuve décide de passer une annonce nécrologique dans le journal local. Elle les appelle :
– Bijour missiou, cili pour connaître li tarif d’oune annonce mortouaire.
– C’est un forfait de 50 euros avec une ligne + 10 euros la ligne supplémentaire…
– Oki oki… alors vous li mettez… « MUSTAFA IL EST MORT ».
– Et c’est tout ?
– Bin voui … vouli savez, me retrouve sans mari avé les zenfants à nourrir .. suis un peu démounie.
– Mais madame, je comprends … mais faudrait être plus précise, 1 ligne pour l’annonce … c’est un peu juste.
– Bin voui … mais 50 euros … c’est beaucoup et mon pôv mari m’a pas laissé beaucoup d’argent.
S’ensuit un moment de silence, puis le correspondant du journal, désemparé :
– Bon Madame, compte tenu de votre détresse je vous accorde une ligne supplémentaire… Que voulez-vous donc publier ?
– Oh merci missiou, vous êtes gentil. Alors vouli mettez : « MUSTAFA IL EST MORT, PIJOT 405 A VENDRE ».