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La blague des turpitudes des curés

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En fin d’après-midi, le père Joseph rend visite à son copain de promo, l’abbé Martin. Il se confie à lui :
– J’en ai RAS LE BOL de cette vie vertueuse que notre sacerdoce nous impose. Ce soir, j’ai envie qu’on aille faire la fête tous les deux. On fera la java, on boira, tout ce qu’on a toujours voulu faire mais qui nous est interdit parce qu’on est des curés, on le fera ! Qu’est-ce que t’en penses ?

Martin est consterné :
– Mais tu es fou ? C’est une petite ville ici et tout le monde se connaît. En plus, même s’ils ne nous connaissent pas, les gens vont nous repérer avec nos habits de curés…

Mais Joseph a tout prévu :
– Ne sois pas si bête : on ira dans une ville où personne ne nous connaît, et on s’habillera comme tout un chacun.

Finalement, après avoir insisté lourdement, Joseph parvient à emmener son copain Martin. Les voilà partis à une centaine de kilomètres de là, dans une grande ville connue pour la chaleur de ses nuits. Sur place, ils font la fête comme des pros. Lorsqu’ils sont de retour chez eux, sur le coup des 6 heures du matin, Martin s’angoisse :
– Je viens juste de penser à un truc… Il va falloir se confesser de tout ça…?

Mais Joseph a trouvé la parade une fois encore :
– Calme-toi. Cet après-midi, tu iras au confessionnal. Je serai là pour t’écouter confesser tes pêchés et t’absoudre. Ensuite on intervertira les rôles. D’accord ?

Martin est d’accord. Et tous les deux vont dormir, l’esprit serein.

L’après-midi, Martin est le premier à se confesser :
– Mon père, pardonnez-moi car j’ai pêché. Avec un ami à moi, nous sommes sortis la nuit dernière, et nous nous sommes conduits comme de vrais débauchés. Nous avons bu de l’alcool jusqu’à nous rendre ivres, nous avons été grossiers, et nous avons eu des rapports charnels avec des prostituées !

Joseph lui répond :
– Dieu est bon et indulgent, aussi le serai-je avec toi : Tu réciteras 5 Notre Père et 5 Je Vous Salue Marie, et tes pêchés seront absous.

Un peu plus tard, c’est au tour de Joseph de se confesser, et à Martin d’absoudre. Joseph s’installe et commence à se confesser. Il raconte tout en détail, puis il attend la sentence de son ami Martin. Après une pause, Martin lui répond :
– Je ne le crois pas ! Tu oses encore te dire prêtre après tout ce que tu as fait cette nuit ? Tu me réciteras 500 Notre Père et 500 Je Vous Salue Marie ; puis tu donneras tout l’argent des quêtes du mois à venir au Bureau d’Aide Social de la ville, tu n’oublieras pas non plus de faire 5 fois le tour de l’église à genoux en demandant son pardon à Dieu. Lorsque tu auras finit tout ça, tu reviendras me voir, et là on verra si je peux te donner l’absolution… mais je ne te garantis rien !
– QUOI ? hurle Joseph très choqué. Tu oublies qu’on avait un accord !?

Martin lui répond :
– Hé, ce que je fais en dehors du boulot, c’est une chose, mais je prends mon travail très au sérieux.

La blague de la turlutte du curé

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C’est le curé du village voisin qui descend en ville pour présenter ses vœux à la Mère Supérieure du couvent Saint Marie. En passant dans la rue, il entend une femme à la tenue suggestive accoster un passant par un :
– 50 balles la turlutte mon beau, ça te dit ?

Et le curé constate alors que la femme et le passant s’engouffrent dans une petite ruelle et disparaissent. Le curé est perplexe. Il veut en savoir un peu plus et se poste en embuscade dans ce quartier.

Il entend à peu près toujours la même proposition faites par des dames aux passants de sexe masculin : « 50 balles pour une turlutte »… Mais il ne peut en savoir plus car même si le passant est intéressé par la proposition de la dame, le passant et la dame disparaissent toujours de sa vue.

Finalement le curé abandonne et poursuit sa marche jusqu’au couvent. Là, il présente ses vœux à la Mère Supérieure et en profite pour en savoir un peu plus à propos de la « turlutte ». Il lui demande :
– Dites-moi un peu ma Mère, une turlutte, c’est quoi ?
– Une turlutte ? C’est 50 euros, comme en ville !

La blague du presque infidèle

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Un homme marié va à confesse et avoue au curé :
– Mon Père, pardonnez-moi parce que j’ai pêché… J’ai presque eu une relation avec une femme en dehors du mariage, presque…
– Qu’est-ce que vous entendez par « presque » ?
– Ben, on s’est déshabillé, puis on s’est frotté l’un contre l’autre, et puis je me suis ressaisi et j’ai tout arrêté.

Le prêtre lui répond :
– Ecoutez mon fils, pour moi, se frotter nu l’un contre l’autre, c’est la même chose que d’aller jusqu’au bout de l’acte et « de le mettre dedans ». Alors je vais vous dire une bonne chose : vous direz 5 « Je vous salue Marie » et vous mettrez 50 euros dans le tronc des pauvres !

Le gars quitte le confessionnal et s’en va un peu plus loin pour prier et se repentir. Puis il va vers le tronc des pauvres, sort un billet, et s’apprête à partir lorsque le curé l’interpelle :
– Hé je vous ai vu ! Vous n’avez pas mis votre billet dans le tronc des pauvres !

Et le gars répond :
– Mais Mon Père, j’ai frotté le billet contre la boite, et vous venez de me dire que c’est pareil que si je l’avais mis dedans…

La blague de la soutane

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Un jeune curé est en stage chez un vieux curé. Il voit au village une jeune bonne qui tire l’eau du puits en minijupe. Il ne peut pas résister à la tentation et essaye de baiser la fille.

Mais sa soutane le gêne et au même moment il voit le vieux curé qui lui fait de grands signes en se mordant la main. Le jeune curé reprend ses esprits et va se confesser tout de suite au vieux curé.

Il lui demande ensuite pourquoi il lui faisait signe en se mordant la main. Le vieux curé lui répond :
– Mais, imbécile, c’était pour te dire de mettre ta soutane entre les dents !

La blague des questions de l’évêque

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C’est l’histoire d’un curé de campagne qui reçoit la visite de son évêque. La paroisse du curé vient de se payer une nouvelle église et il ne manque à celle-ci qu’une cloche pour que tout soit parfait.

Mais, hélas, les paroissiens se sont saignés à blanc et n’ont plus les moyens de se payer une cloche. Le curé en parle à son évêque et lui demande si celui-ci ne pourrait pas leur payer la cloche en question.

L’évêque répond :
« Je paierai une cloche à votre paroisse si vous répondez aux trois questions suivantes :
1 ) Combien je vaux ?
2 ) Combien de temps ça prend pour aller au ciel ?
3 ) Qu’est-ce que je pense ? »

Le curé, embêté, ne sait trop quoi répondre. L’évêque lui dit alors :
« Je reviendrai la semaine prochaine et vous pourrez alors répondre à mes énigmes. »

Alors, notre curé va voir son frère jumeau, qui est sacristain (bedeau) et lui raconte son entrevue avec l’évêque :
« Très embêtant en effet… Les deux premières questions, tu peux répondre ce que tu veux, il ne peut rien dire… mais la dernière… Ecoute ! Je vais prendre ta place la semaine prochaine et répondre aux énigmes. Nous nous ressemblons tellement toi et moi que l’évêque ne s’apercevra de rien. »

La semaine suivante, l’évêque est de retour et le sacristain déguisé s’avance vers lui en criant :
« Votre éminence, j’ai la réponse à vos trois questions ! »

L’évêque, quelque peu surpris de cet accueil, lui répond :
« D’accord, alors combien je vaut ? »

Le bedeau répond :
« 29 deniers ! On a vendu le Christ pour 30 deniers, alors un évêque c’est un peu moins… »

L’évêque, de plus en plus surpris poursuit :
« Pas mal ! Et combien ça prend de temps pour aller au ciel ? »

Le bedeau répond tout de go :
« 3 jours ! Il y a le dimanche de la fête de l’Ascension et le dimanche suivant, c’est la fête de la Pentecôte. 3 jours pour monter, 1 journée pour préparer la venue du Saint-Esprit et les 3 autres journées pour la descente de celui-ci. 3 jours, c’est le temps qu’il faut ! »

L’évêque ne peut évidemment pas contredire cette théorie :
« Tu réponds bien ! Mais je crois que ma dernière question sera sans réponse ! Allez ! Qu’est-ce que je pense ? »

Et le bedeau de s’écrier :
« Ben, tu penses que je suis le curé, alors qu’en fait je suis le bedeau ! »