blague corvée

Le verre à moitié lavé

Devant le même verre, l’optimiste se dit qu’il est à moitié plein, le pessimiste, qu’il est à moitié vide et la femme de ménage, fût-elle la plus optimiste du monde, que, lorsqu’il sera complètement vide, c’est à elle que reviendra la corvée de le laver.

La corvée de chameau

Du temps de la guerre d’Algérie, dans un poste avancé, le Capitaine veut envoyer un message à son Général plus en retrait.

Mohamed est désigné pour la corvée. Mais le chameau est un peu spécial : il faut lui caresser le zob longuement pour qu’il puisse avancer correctement. Dès qu’il s’arrête il faut lui donner son plaisir.

Au début tout va bien, Mohamed s’acquitte consciencieusement de sa tache… Mais voilà qu’une dune approche et le chameau saute par dessus la dune, Momo surpris passe par dessus la tête de la bestiole et tombe dans un massif de cactus. Il se relève avec plein d’épines dans les mains.

Que faire ? Le chameau ne va pas pouvoir redémarrer ; c’est alors que le chameau tourne la tête vers Momo, le regarde tendrement en se léchant les babines…

La corvée de vieille tante

Une dame dit, étonnée, à une voisine :
– C’est vous qui êtes de corvée pour manier la pelle à neige ?
– Oui.
– Votre mari ne pouvait pas faire un travail aussi dur ?
– Je vais vous expliquer. Il fallait absolument que quelqu’un reste tout l’après-midi à la maison pour tenir compagnie à la vieille tante impotente que nous avons recueillie. Alors, nous avons tiré à pile ou face.
– Et vous avez perdu ?
– Non : J’ai gagné.

La blague de la vaseline du motard

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Un homme s’achète une moto. Inquiet quant à la façon idéale de la garder la plus reluisante possible, il en parle à son concessionnaire. Celui-ci lui recommande de recouvrir les parties peintes de vaseline lorsqu’il pleut. Puis le type conclut l’achat et part avec la moto.

En chemin, il rencontre une fille qui le trouve très bien avec sa moto et ses lunettes fumées. Elle lui parle un peu et elle l’invite finalement a prendre le repas avec elle et sa famille…

Le type accepte, et les voilà qui partent en moto vers la maison de la fille. Tout juste avant d’entrer, la fille avertit le type :
« Tu dois savoir qu’ici, le premier qui parle pendant le repas est de corvée de vaisselle. »

Et ils entrent.

Le repas commence dans le plus grand silence. Surpris de l’efficacité de ce système, le type n’en est pas moins attiré par la fille et n’arrive pas à attendre la fin du repas pour lui faire des avances: Après quelques gestes sous la table, le type se jette sur la fille, relève sa jupe et se met à la baiser devant ses parents et ses deux petites soeurs qui n’en croient pas leurs yeux ! Personne n’ose parler, de crainte d’être corvée de vaisselle. Le père observe la scène, choqué, et regarde le type d’un air qui en dit long. Mais il se retient… alors que le type ne se retient finalement pas…

Quelques minutes passent, le repas continue, et le type fait de l’oeil aux deux jeunes soeurs de la fille avec un air gourmand.

Finalement, n’en pouvant plus, il se lève et prend les deux jeunes filles une après l’autre, devant les yeux injectés de sang du père qui sert les poings, rouge de colère, se retenant pour ne pas lui balancer son assiette par la tête, tout en faisant bien attention de ne pas prononcer un mot, de peur d’être de corvée de vaisselle !

Le repas continue tranquillement, la tension redescend, et le type, en forme, regarde la mère d’un air lubrique. En plein dessert, il se lève, empoigne la mère et se met a la baiser sur la table. Le père furieux, se lève, mais reste figé par sa peur d’être de corvée de vaisselle.

Finalement, le repas est presque terminé lorsqu’il se met à pleuvoir dehors. Le type pense immédiatement a sa moto. Il se lève, sort un pot de vaseline, et le père s’écrie :
« Je vais faire la vaisselle ! Je vais faire la vaisselle ! »

L’usage promenade de la voiture

Les perles : les assurances

« Vous m’avez conseillé d’assurer ma voiture pour l’usage promenade, mais j’ai oublié de vous préciser que tous les dimanches, j’allais raccompagner ma belle-mère qui vient déjeuner à la maison. Puis-je, en toute honnêteté, considérer ce déplacement comme promenade ? »