blague congrégation

La blague de la nudité religieuse

Un pasteur protestant, un prêtre et un rabbin décident d’aller faire une ballade par un beau dimanche d’été. Il fait très très chaud et les trois amis sont épuisés et en sueur lorsqu’ils arrivent sur les berges d’un petit lac aux eaux claires.

L’endroit étant vraiment retiré de tout, ils n’hésitent pas une seule seconde et retirent tous leurs vêtements avant d’aller « piquer une tête » dans le lac.

S’étant bien rafraîchi, le trio sort de l’eau et entreprend de ramasser quelques myrtilles, toujours en tenue d’Adam… Seulement, alors qu’ils arrivent dans une clairière, ils tombent nez à nez avec un groupe d’une dizaine de dames qui visiblement avaient choisi cet endroit comme lieu de randonnée.

Sachant qu’il leur est impossible de retrouver leurs vêtements à temps, le pasteur et le prêtre cachent tant bien que mal leurs « parties » derrière leurs mains. Le rabbin, par contre, se sert de ses mains pour se cacher la face !

Après que les dames aient quitté les lieux et que les trois amis se soient rhabillés, le pasteur et le prêtre s’enquièrent de la réaction de leur confrère rabbin : « Pourquoi s’est-il caché le visage, plutôt que ses organes génitaux ? »

Et là le rabbin leur répond :
« Mes amis, je ne sais pas comment ça se passe chez vous, mais dans ma congrégation, c’est mon visage que les fidèles risqueraient de reconnaître… »

Le juif noir

humour, blague sur les Juifs, blague sur les noirs, blague sur New York, blague sur le yiddish, blague sur les religions, blague sur le racisme

Dans le métro de New York, deux Juifs se trouvent en présence d’un Noir en train de lire un journal yiddish. Le premier dit à l’autre :
– Crois-tu qu’il soit juif ?
– J’ai entendu dire qu’il y avait une congrégation juive à Harlem, mais je ne savais pas qu’ils connaissaient le Yiddish.
– Quant à moi je suis sceptique.
– Si tu veux en avoir le cœur net, allons le lui demander.

Ils s’approchent, s’excusent et lui posent la question :
– Seriez vous Juif, par hasard ?

Le Noir baisse lentement son journal, les regarde, un instant et énonce :
– Il ne manquerait plus que cela !