blague confession

Pardon par anticipation

Un petit garçon de la campagne va se confesser. Il avoue au curé un vol de fagots. Le prêtre lui fait la morale :
– Ce n’est pas bien de voler les fagots ! Combien en as-tu pris ?
– Ben… huit, mon père : deux lundi, deux mardi et deux mercredi !
– Mais, ça ne fait que six !
– Oui… mais il y a les deux que je vais prendre ce soir !

Le suicide du curé

Un suicidé a échappé de peu à la mort : sa corde a cassé. Il va se confesser et demande conseil au curé qui lui répond :
– Tu trouveras la réponse dans la Bible !

Arrivé chez lui, il ouvre une Bible et lit :
– Va et repends-toi.

Les bouteilles volées

Fernand va se confesser :
– Mon père, avoue-t-il d’un air contrit, tout à l’heure en venant à l’église, je suis passé devant chez Emile, la porte de sa cave était ouverte… il n’y avait personne, alors je suis descendu et j’ai bu quelques bouteilles.
– C’est très mal, mon fils ! s’exclame le prêtre, et combien en as-tu bu ?

Le gars Fernand fait un rapide calcul :
– Trois, mon père, mais pendant que vous y êtes, punissez-moi pour six, des fois que l’Emile ne soit pas encore rentré quand je repasserai devant chez lui.

La blague du voleur de bois

Monsieur le curé fait son petit tour à vélo dans le village, lorsqu’il croise Robert, un vagabond un peu jardinier, un peu braconnier, et très bricoleur, qui ne met jamais les pieds à l’église.
– Robert, je t’attends demain au confessionnal ! Ca fait bien vingt ans que je ne t’ai pas vu dans la Maison de Dieu… Tu dois en avoir des choses à raconter !

Robert, pas enthousiaste du tout à cette idée accepte malgré tout l’invitation. Le lendemain dans le confessionnal, Monsieur le Curé commence l’interrogatoire :
– Alors Robert, raconte-moi un peu tes péchés. Tu as bien du en faire des bêtises depuis ta Communion Solennelle…
– Ben, heu… oui. J’ai volé un peu de bois chez le charpentier, répond Robert honteux.
– Un peu de bois, ça veut dire combien ?
– Ben, juste assez pour construire un chenil à mon chien.
– Hmmm… Ca va encore dans ce cas.

Robert continue :
– Il me restait un peu de bois, alors je me suis construit une remise pour mes outils…
– Ah ! C’est un peu plus sérieux alors.
– Monsieur le curé… il me restait encore un peu de bois après la remise, alors j’en ai profité pour construire un garage…

Là, le curé marque une pause, puis il dit :
– Ca c’est quand même beaucoup plus grave. Pour ça, j’ai bien peur que tu doives me faire une neuvaine.
– Monsieur le curé, je ne sais pas trop ce que c’est qu’une neuvaine, mais si vous me donnez les plans, moi, j’ai le bois…

La confession de la classe

C’est le jour de confession pour toute une classe

Le premier élève va voir le curé. Le curé lui demande :
– Hé bien mon petit, as-tu pêché ?
L’élève ennuyé lui répond :
– Oui mon père, j’ai jeté du pain à l’eau…

Le deuxième élève arrive et dit au curé :
– Mon père, je voudrais me confesser car j’ai jeté du pain à l’eau…

Le troisième, le quatrième puis l’avant-dernier de la classe arrivent et tous disent avoir jeté du pain à l’eau. Le prêtre ne comprend pas.

Enfin le dernier élève arrive. Le curé lui demande :
– Alors mon petit, toi aussi tu as jeté du pain à l’eau ?

L’élève lui répond :
– Mais mon père comment vous saviez que je m’appelle Dupain ?