blague confection

La blague du prix du déshonneur

Dans son magasin de confection, le vieux Samuel Wiesenstein accueille sa fille Rachel en pleurs.
– Allons ma petite fille, qu’est-ce qui se passe ?
– Oh papa, si tu savais… Je t’avais dit que je sortais depuis quelques mois avec Jean-Patrick de la Frontinière… Eh bien, je viens d’apprendre que je suis enceinte de lui !
– Enceinte ?! Ma fille ?! Et d’un goy en plus !!! rugit le vieux Samuel. Donne-moi son adresse, je vais aller lui rendre une petite visite à ton Jean-Patrick. Je t’assure qu’il va m’entendre !

Énervé comme pas possible, le vieux Samuel se met au volant de sa vieille Mercedes 220 D et fonce à tout berzingue en direction de l’adresse indiquée. Lorsqu’il arrive sur place, il n’en croit pas ses yeux : au numéro fournit par sa fille, il tombe sur un superbe immeuble sur le toit duquel brille un gigantesque néon publicitaire « Prêt à porter De la Frontinière ».

Mais le vieux Samuel ne se laisse pas impressionner, il entre dans l’immeuble, passe par l’accueil, insiste pour rencontrer Jean-Patrick de la Frontinière himself. On lui demande de patienter pendant que l’on prend contact avec le secrétariat de la direction. Après cinq minutes d’attente, le vieux Samuel a l’autorisation de monter au dernier étage de l’immeuble. Là, il est accueilli par la secrétaire particulière de Monsieur Jean-Patrick de la Frontinière qui le conduit jusqu’au PDG.

Et voilà enfin le vieux Samuel qui entre dans le bureau de celui qui a fait un enfant à sa fille alors qu’ils ne sont même pas mariés ! Il le voit là devant lui et s’apprête à se mettre à l’insulter lorsque Jean-Patrick le prend de vitesse :
– Monsieur Wiesenstein, si vous saviez le plaisir que j’ai à vous voir ! Votre fille Rachel m’a dit tellement de bien de vous. Elle vous adore vous savez. Je pense savoir la raison de votre visite : Rachel est enceinte et nous ne sommes pas mariés. Eh bien je tiens à vous rassurer : je compte lui verser dès maintenant et jusqu’à la majorité de notre enfant une rente mensuelle de 10.000 euros. De plus, je vous propose, puisque vous êtes dans la confection et moi dans le prêt-à-porter de vous offrir la responsabilité de la direction de nos commandes spéciales et de réalisation d’échantillons. Vous seriez gérant de notre filiale, avec un salaire mensuel de 15.000 euros plus un intéressement aux bénéfices.
Alors, qu’en pensez-vous ?

Là, le vieux Samuel reste muet pendant plus d’une minute, ne sachant que dire, et puis enfin il répond :
– Monsieur De la Frontinière, permettez-moi une question : dans le cas où ma petite Rachel ferait une fausse couche, est-ce que vous seriez prêt à lui donner une seconde chance ?

Les commerçants de Vaison-la-Romaine

On est à Vaison-la-Romaine. Trois commerçants en confection font visiter à leur confrère parisien du Sentier leur centre commercial, juste reconstruit depuis la grande inondation.

Le premier :
– Je devais refaire mon agencement quand l’inondation est arrivée. Grâce à Dieu, l’assurance a payé les dégâts et j’ai rénové avec l’indemnité.

Le second :
– J’allais commencer mes soldes quand l’inondation est arrivée. Grâce à Dieu, l’assurance a tout couvert et j’ai bien démarré la nouvelle saison.

Le troisième :
– J’étais en train de déballer la nouvelle collection quand l’inondation est arrivée. Grâce à Dieu, avec l’assurance, c’est comme si j’avais tout vendu le premier jour.

Le confrère parisien :
– L’inondation, vous l’aviez commandée à qui ?

Les mystères de la confection homme

humour, dessin humour politique du jour, dessin d’actualité, Jerc, blague coronavirus, blague covid 19, blague Vladimir Poutine, blague Tsar, blague démocratie, blague probité, blague Sputnik V, blague vaccin, blague sorcier, Vladimir Poutine

Isaac, représentant de commerce, profite de son passage à Paris pour acheter une belle pièce de tissus. Il se rend dans le Sentier, voit une boutique au nom de « Levy, confection homme ».
– Bonjour Monsieur. J’ai trouvé ce tissu. Pourriez-vous me faire un costume avec ?
– (Il examine la pièce) Oui bien sûr. Mais il n’y a pas beaucoup de tissu, je ne pourrai faire qu’un Spencer et un short.

Ils discutent des tarifs et Isaac ressort, en disant qu’il va réfléchir.

Il marche cinquante mètres et entre chez « Cohen, confection pour homme ».
– Bonjour Monsieur. J’ai trouvé ce tissu. Pourriez-vous me faire un costume avec ?
– (Il examine la pièce) Oui bien sur. Je vous prend les mesures, et dans une semaine vous revenez faire l’essayage. Je vous fais un trois pièces.

Ils s’entendent sur les tarifs, le tailleur prend les mesures, et une semaine après, ils se retrouvent pour les essayages. Le costume tombe pile-poil. Isaac paye, va pour sortir, et voit entrer dans la boutique un petit garçon, marchant à peine, avec un gilet dans le même tissus que son costume. Le tailleur est un peu gêné, et explique :
– Il me restait une chute, alors…
– Bien sur, vous avez bien fait. Au fait, avant de venir chez vous, je suis passé chez Levy, et il m’a dit qu’avec le tissu que j’avais, il ne pouvait faire qu’un Spencer et un short. Or vous, vous m’avez fait le trois pièces impeccable et il reste de quoi faire un gilet pour le gosse.
– Ah Monsieur Levy ?, oui je comprends : c’est que lui, son fils, c’est un géant, il mesure deux mètres et joue au rugby.

Le fils juif et les études

Une mère juive appelle son grand fils :
– Daviiiid, mon fils ! Ecoute ta mère qui te parle ! Voilà : tu as voulu faire Harvard, je t’ai payé Harvard Tu as voulu faire polytechnique et l’ENA, je t’ai payé polytechnique et l’ENA Tu as voulu faire Oxford, je t’ai payé Oxford… Maintenant, il faut choisir : confection pour homme ou confection pour dame ?

Le prix de la robe

humour, blague vêtement, blague commerce, blague confection, blague robe, blague prix, blague petite culotte, blague excitation, blague coût, blague vendeuse, humour patronal

Une dame entre dans un magasin de confection. Elle cherche pendant un bon moment quelque chose qui lui convienne. Soudain elle avise la robe que porte la vendeuse et lui dit :
– Voilà exactement ce qu’il me faut. Ça coûte combien une robe comme ça ?
– 100 euros dit la vendeuse.

La dame tique un peu.
– Vous n’avez rien en dessous ?
– Non, répond la vendeuse en rougissant. Mon patron trouve plus excitant que je ne porte pas de culotte.