blague concierge

La venue du jeune homme

La femme de chambre arrive bouleversée dans la chambre de sa patronne :
– Madame, madame, c’est terrible, Monsieur a appris par la concierge, qu’en son absence, un jeune homme était venu à la maison mercredi soir et n’en était parti qu’au petit matin !
– J’ai une idée, nous dirons à Monsieur que ce jeune homme est venu pour vous.
– Ah, non ! Surtout pas ! Parce qu’alors là, Monsieur serait encore plus furieux.

Le vieillissement nominatif

Un type demande à une concierge :
– Pourriez-vous me dire si M. Poulain habite l’immeuble ?
– Il n’y a pas de M. Poulain, ici, mais il y a un M. Cheval au sixième étage.
– Après réflexion, il se peut que ce soit lui, il y a longtemps que je ne l’ai vu !

La garce ou le salaud ?

Une brave dame se confie, presque en pleurs, à la gardienne de son immeuble.
– Vous savez, j’ai bien remarqué que cette créature qui vient de s’installer au sixième, aguiche mon mari ! Et ça me tourmente tellement, que cette nuit, j’ai rêvé qu’il était dans ses bras !
– Mais voyons, remarque la concierge, ce n’est pas grave, ce n’est qu’un rêve !
– Bien sûr, mais si dans mes rêves à moi, il est dans ses bras, qu’est-ce qu’il doit faire dans ses rêves à lui !

Une nouvelle maladie professionnelle

Deux concierges parlent d’une troisième collègue, en faisant leurs achats au marché du quartier.
– Vous avez vu, cette pauvre Madame Dupond a un œil tout enflammé, dit la première.
– Oui, répond la deuxième. Elle a dû prendre un courant d’air à travers un trou de serrure.

Les contorsions des toilettes

Un gars va rendre ses clés au concierge de ce petit hôtel miteux avant de quitter l’établissement définitivement.
– Avez-vous été satisfait de votre séjour ? lui demande le concierge.
– Eh bien non, justement, lui répond le client. Je ne reviendrai plus chez vous !
– Mais pourquoi ?
– À plusieurs reprises, lorsque j’ai dû aller aux toilettes, je me suis rendu compte qu’il n’y avait plus de papier !
– Mais enfin, s’insurge le concierge, vous avez une langue !
– Ehhhh…, répond le client, j’suis pas contorsionniste, hein !