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La comptine de Jawad Bendaoud

Les perles : Jawad Bendaoud

Pour expliquer qu’il était drogué :
« Je sais pas si quelqu’un prend de la cocaïne dans la salle, demande-t-il. Mais c’est terrible. Tu prends un gramme, deux grammes et pic et pic et colégram. »

(Jawad Bendaoud, alias Le logeur de Daesh, alias Century 21, alias Stéphane Plaza, lors de son procès le 25 janvier 2018)

La blague des curés à vélo

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Deux curés de campagne à bicyclette faisaient la tournée de leurs ouailles. Le premier était sorti major de sa promotion du grand séminaire, tandis que le deuxième ayant triplé ses trois années, ne devait son ordination qu’à la bourse rebondie de sa tante Adèle, qui avait beaucoup à se faire pardonner. Or donc voici nos compères sur la route, pédalant de concert en égrenant leur chapelet. Il advint que le chemin délaissant la plaine, montait de plus en plus fort vers le paradis, à l’assaut d’un col de première catégorie.

Notre curé intello sentit bien vite une extrême fatigue l’envahir, bientôt transformée en de multiples crampes, qui lui auraient arraché des gémissements de douleur à chaque coup de pédale, s’il ne se donnait un peu de cœur à l’ouvrage :
– Plus près de toi, mon Dieu…

Au même moment, le deuxième curé s’envolait sur sa bicyclette, ne ressentant ni fatigue, ni douleur d’aucune sorte. Il montait, montait, montait…

Moralité : c’est l’abbé bête qui monte, qui monte, qui monte.