blague comptage
Le hold-up des deux corses
Deux corses réalisent un hold-up et s’enfuient se réfugier dans une chambre d’hôtel.
Le plus jeune dit à l’autre :
– François, qu’est-ce qu’on attend pour compter les billets ?
Le plus âgé, complètement épuisé par l’exploit lui répond :
– Oh Antoine, attend cet après-midi, va acheter le journal et tu auras la réponse.
Le cochon qui sait compter

C’est un paysan qui va voir son voisin, paysan aussi de son état.
– Tiens, salut !
– Salut ! Tu vas bien ?
– Bah, ouais ! Tiens, mais j’t’ai pas dit ! J’ai un cochon qui sait compter.
– Quoi ?!?! Un cochon qui sait compter ? Arrête tes conneries, tu sais très bien que ça sait pas compter un cochon !
– Si, si, j’t’assure ! Tiens, viens voir chez moi !… Viens, que j’te dit !
Alors les deux paysans vont voir le cochon en question. Ils arrivent, et le paysan dit :
– Tiens, écoute ! 4 et 5 ?
Et là, il file un petit coup de pied au cochon :
– Neufneufneuf….neuf ! (imitez le cochon)
– 2 et 7 ? (un petit coup de pied !)
– Neufneufneuf…, fait le cochon.
– C’est dingue, ça ! dit l’autre !
– 3 et 6 ? (le petit coup de pied)
– Neufneufneufneufneuf…
– Ouais, mais attends ! Il n’sait dire que NEUF ton cochon. C’est du pipeau ton truc !
– Nan, attends !… Écoute : 4 et 4 ?
Et là, il décolle un magistral coup de pied dans le cochon qui fait :
– Huuuiiittt, huuuuuuuiiiiiiiiit… huuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiittttttt !
Combien de cocus dans la ville ?
Deux collègues discutent. L’un d’eux demande à l’autre :
– À votre idée, sans vous compter, combien croyez-vous qu’il y ait de cocus dans la ville ?
L’autre répond, furieux :
– Comment, sans me compter ?
– Excusez-moi, reprend le premier, gêné. Je n’ai pas voulu vous froisser. Alors, en vous comptant, combien croyez-vous qu’il y en ait ?
Les insomnies d’Abraham
C’est Abraham qui se plaint à son pote Isaac :
– J’ai des insomnies !
– Ben tu devrais compter les moutons pour dormir.
– Hein ? Compter les moutons ?
– Ben oui. Tu comptes les moutons qui sautent la haie, et puis au bout d’un certain chiffre tu finis par t’endormir.
Une semaine plus tard, Abraham rencontre à nouveau Isaac :
– Tu sais, j’ai compté les moutons comme t’avais dit. Eh ben, ça va pas !
– Heu ? Bah pourquoi ?
– Parce qu’arrivé à 5000, j’me suis dit qu’il ne fallait pas laisser passer une aussi belle affaire. Alors j’ai tondu toute leur laine et j’en ai fait des pardessus ! Et maintenant je me casse la tête pour savoir où je vais trouver des doublures pas cher !