Un mari, en arrivant chez lui, trouve sa femme au lit et, dans le cendrier, un cigare encore fumant. – HE BIEN ! Hurle-t-il, d’où vient ce cigare ? – Mais je ne sais pas, chéri, répond-t-elle nerveusement. Je suppose que c’est moi qui…
Alors le gars explose : – Si tu ne me dis pas tout de suite d’où vient ce cigare, je t’étrangle !
Et on entend une petite voix apeurée dans l’armoire : – Il vient de la Havane, monsieur…
– Chéri, dit une dame à son mari, qui vient de la trouver toute nue au lit avec un inconnu, toi qui est un Sarkozyste tellement acharné, tu vas être content. Monsieur était, jusqu’à ce jour, secrétaire de la cellule communiste locale mais je crois avoir trouvé les arguments pour l’inciter à voter pour la Majorité, lors des prochaines élections.
Une femme va consulter le médecin pour une grosse fatigue (pour ceux qui ne savent pas ce que c’est une grosse fatigue, voir à asthénie) qui dure depuis pas mal de temps.
Après les examens et l’auscultation classique qui ne montrent rien de particulier, le médecin en vient à lui demander quelle est la fréquence de ses rapports sexuels : – Je fais l’amour le lundi, le mercredi et le samedi. – Je vous ai prescrit un traitement médical. Mais en plus des médicaments, il faudra vous abstenir de faire l’amour une fois sur trois, par exemple, le mercredi ! – Ah, ce n’est pas possible docteur. Pas le mercredi. C’est la seule nuit que je passe avec mon mari.
Ce sont deux collègues de bureau. L’un des deux est vraiment triste depuis plusieurs jours. Son collègue s’en inquiète et lui préconise : – Tu sais, moi dans ces cas-là, je ne cherche pas trop le pourquoi du comment et quand je rentre à la maison je fonce sur ma femme et je lui fais l’amour jusqu’à plus soif. Tu devrais essayer je t’assure, avec cette méthode tu verras la vie en rose à nouveau.
Après plusieurs jours pendant lesquels la mine du collègue tristounet s’est améliorée de façon visible, le collègue aux bons conseils vient aux nouvelles : – Toi je suis sûr que tu as appliqué mes conseils à voir ta mine toute épanouie… – Oh oui, tu avais bien raison ! Mais dis-donc, tu m’avais caché comment c’était beau chez toi !
C’est l’histoire d’un gars qui ne voyait que le bon côté des choses. À tel point qu’il finissait par agacer tous ses amis par son optimisme forcené : Peu importe les circonstances, sa réponse était du genre : – Ça aurait pu être pire !
Pour lui faire passer son habitude exécrable, tous ses amis décidèrent de lui tendre un piège en inventant une situation tellement désastreuse que même lui ne pourrait y trouver de côté positif.
Alors qu’ils se retrouvaient pour un repas au restaurant, un des amis du gars lui dit : – Tu connais Léon Dugenou ?… Tu sais, l’avocat. Et bien, il est rentré chez lui un peu plus tôt que prévu hier soir, et il a trouvé sa femme au lit avec un autre homme. Figure-toi qu’il n’a rien trouvé de mieux que de les tuer tous les deux puis de retourner l’arme contre lui et se suicider !
Alors notre optimiste répond : – Ah c’est affreux… Mais ça aurait pu être pire !
L’ami n’en croit pas ses oreilles : – Comment ça, tu me fais marcher dis ?
Et l’optimiste rétorque : – Ben non, si cette histoire était arrivée la veille, je serais mort maintenant.