Une belle-mère ceinturée

– Mon gendre, raconte une dame, ne manque jamais, quand nous partons, le vendredi soir, à la campagne, de veiller à ce que j’aie bien bouclé ma ceinture.
– C’est gentil de sa part.
– Ce qui l’est moins, c’est qu’il n’a jamais voulu me révéler la combinaison du cadenas dont il l’a équipée.