blague brûlure

Les qualités du cuisinier

Un cuisinier pessimiste et un cuisinier optimiste travaillent ensemble depuis plusieurs années. Chaque fois qu’ils sortent un plat du four, seul le pessimiste se brûle. Pourquoi ?

Parce que l’optimiste prend toujours les choses du bon côté !

Cuisinier et cuisinière

Les perles : les assurances

« Un accident est arrivé hier dans la cuisine du restaurant : le cuisinier est tombé sur la cuisinière. La cuisinière n’a rien mais le cuisinier souffre de graves brûlures. Je vous envoie la note. »

La blague du four entre les jambes

Une jeune fille est sur le point d’aller à son premier rendez-vous…

La mère, très inquiète, lui dit :
« Tu sais, les garçons parfois tentent de profiter de la situation, ce sont tous des cochons. Tu dois être particulièrement prudente. S’il essaie de toucher ta poitrine tu lui dis : Non, en aucun cas, là il y a des épines qui piquent ! S’il essaye de te toucher entre les jambes tu dois lui dire : Non, en aucun cas, ici, il y a un four qui brûle ! »

La fille répond qu’elle a bien compris et se rend au rendez-vous. Quand elle revient sa mère lui demande comment ça s’est passé.

La fille lui répond :
« Comme ci, comme ça… D’abord il a voulu toucher mes seins mais j’ai dit NON, en aucun cas, là il y a des épines qui piquent ! Puis, il a voulu me toucher entre les jambes mais j’ai dit NON, en aucun cas, ici, il y a un four qui brûle ! Et alors, il m’a demandé s’il pouvait faire cuire sa saucisse. »

La mère, tremblante, dit : « Et … et … et puis que s’est-il passé ? »

La fille : « Eh bien, j’ai découvert que mon four ne fonctionne absolument pas ! Il a laissé cuire sa saucisse pendant plus d’une heure mais, quand il me l’a faite goûter, elle était toujours crue ! »

Un accident peu courant

Les perles : les journalistes

« Un jeune de 16 ans est mort hier après-midi. Il s’est électrocuté en grimpant sur le toit d’un train en marche à Tournan-en-Brie (Seine-et-Marne). L’adolescent, souffrant de brûlures au deuxième degré, a été transporté à l’hôpital mais ses jours ne sont pas en danger. »

(Métro, 30 janvier 2012)