blague branlette

Aborder une fille

– Tu penses qu’accoster une fille en lui disant « lorsque je pense à toi, je me branle » est une bonne idée ?
– C’est toi qui m’a dit de faire comme dans les films, je te signale…
– Ouais, bah moi je pensais plus à des films romantiques que pornographique !

La blague de la pute fortunée

À New York, dans son bar favori, un type aperçoit une bombe entrer au bras d’un mec d’une laideur inénarrable. Il demande au barman s’il connaît la fille et est surpris d’apprendre que c’est une prostituée.

Il la regarde tout le reste de la soirée, en se disant qu’il pourrait s’offrir une telle beauté. Il revient le lendemain. La gueuse est là, seule. Il prend son courage à deux mains et l’aborde.
– Est-ce vrai que vous êtes une prostituée ?
– Bien sûr, mon grand loup. Que puis-je pour toi ?
– Ben, je ne sais pas. Combien vous prenez ?
– 500 euros pour une branlette.
– 500 la branlette ? Mais ça ne va pas ?!
– Tu vois, la Ferrari garée devant le bar ?

Le type zieute et voit une Ferrari rouge rutilante.
– J’ai payé cette Ferrari en liquide, avec l’argent que j’ai gagné de mes branlettes et crois-moi, ça les vaut.
Le type réfléchit un peu et se décide.

Ils partent ensemble et le type reçoit la plus phénoménale branlette qui soit, mieux qu’une nuit complète d’amour : la plus extraordinaire expérience de sa misérable vie.

La nuit suivante, il l’attend avec impatience au bar et, quand elle entre, l’aborde immédiatement.
– La nuit dernière était incroyable !
– Bien sûr que c’était incroyable et encore, tu n’as pas goûté à mes pipes…
– Et c’est combien ?
– 1000 euros.
– 1000 euros, c’est impossible !
– Tu vois l’immeuble grand standing, en face de la rue ?

Le type regard l’immeuble de 12 étages.
– J’ai payé cet immeuble en liquide avec l’argent que j’ai gagné de mes pipes et crois-moi, ça les vaut.
Basé sur son expérience de la veille, le type se doit d’essayer.

Il part avec elle et, une fois encore, il n’est pas déçu. Il manque même de s’évanouir de plaisir.

La nuit suivante, il peut à peine se contenir, tant il est impatient de la voir. Quand elle arrive, il se précipite :
– Je suis accro ! T’es la meilleure ! Dis-moi, combien ça me coûte pour ta chatte ?

Elle le prend par la main, l’emmène sur le trottoir et lui montre le bas de la rue où, entre deux immeubles, il peut entrapercevoir Manhattan.
– Tu vois cette île ?
– Non, arrête tes conneries ! Tu veux quand même pas dire que…

Elle hoche de la tête :
– Oui oui, si j’avais une chatte, Manhattan m’appartiendrait.

La blague de l’avenir de Toto

La maîtresse demande :
– Chacun votre tour vous allez me raconter ce que vous voulez faire plus tard, quand vous serez grands.

Et chacun leur tour, ils racontent :
– Moi, quand je serai grand, je veux être un grand joueur de hockey et puis si ça marche pas je serai petit joueur de hockey.
– Moi, quand je serai grand, je veux être chirurgien et puis si ça marche pas je serai brancardier.
– Moi, quand je serai grande, je veux être actrice et puis si ça marche pas je serai caissière au cinéma.
– Moi, quand je serai grand, je veux être un grand athlète et puis si ça marche pas je serai prof de gym.
– Moi, quand je serai grand, je veux des femmes et du champagne, dit Toto.
– Ah bon, s’exclame la maîtresse en riant. Et si ça ne marche pas ?
– Branlette et Pepsi !