blague bordel

La blague de Toto au bordel

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Toto se promène dans la rue avec son papa. Ils passent devant une maison bizarre, avec des fenêtres aux tentures fermées, des néons dans l’entrée, etc…

Toto :
« Papa, c’est quoi la maison, là ? Hein papa, c’est quoi ? »

Le papa, ennuyé :
« Ce n’est rien, ce n’est pas pour les petits garçons sages. Tu sauras plus tard ce que c’est. Viens, on continue la promenade ».

Revenu à la maison, Toto ne peut résister à la curiosité. Profitant d’un manque d’attention de son papa, il prend un billet de 100 euros dans le portefeuille familial et sort discrètement. Quelques minutes plus tard, il est dans le hall de la grande maison avec des tentures et des néons colorés. Une dame en petite tenue se tient derrière un comptoir.

Toto :
« BONJOUR Madame, excusez-moi de vous déranger : Voici 100 euros, et j’en voudrais pour mon argent ! ».

La dame, ennuyée, demande à Toto de patienter quelques instants. Elle se rend dans une pièce à l’arrière où se trouve le « patron ».

La dame :
« Dis, Giuseppe, il y a un gamin à l’entrée ; il m’a donné 100 euros et il m’a dit qu’il en voulait pour son argent. Qu’est-ce que je fais ? »

Giuseppe :
« Il est sans doute victime d’une blague de copains plus âgés… Tu te souviens des crêpes qu’on a faites avant-hier. Il y en a encore quelques-unes au frigo. Réchauffe-les en vitesse, donne-les lui et rends-lui 95 euros. Il sera content et il partira ».

La dame s’exécute, amusée…

Revenu à la maison, Toto tombe sur un papa furieux. Il le cherche partout depuis une heure et il s’est aperçu du vol dans son portefeuille.

Le papa
« Toto, où étais-tu ? »

Toto :
« J’étais dans la grande maison avec des tentures et des lampes de toutes les couleurs. »

Le papa, très inquiet et craignant le pire pour l’innocence du fiston :
« Et qu’est-ce que tu as fait dans cette maison ? »

Toto :
« Papa, c’était fantastique ! Quel service ! J’ai donné 100 euros, on m’a rendu 95 euros. J’en ai eu 8, et il y en a 4 qui étaient tellement chaudes que j’ai dû les finir sur le trottoir ! »

La blague du pluriel de Toto

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Une institutrice explique à ses élèves le pluriel et le singulier :
– Bon alors voilà, les enfants, le singulier et le pluriel c’est très facile. Le singulier c’est quand on est un, et le pluriel c’est quand on est plusieurs. Vous voyez, ce n’est pas dur. Bon, alors on va voir si vous avez compris. Dis-moi, Jérôme : quand on dit « une femme regarde par la fenêtre », on parle comment, au singulier ou au pluriel ?
– Ben si une femme regarde par la fenêtre, on parle au singulier !
– Voilà, c’est très bien, mon p’tit Jérôme. Et toi, Toto, quand je dis « huit femmes regardent par la fenêtre », qu’est-ce que c’est ?
– Ben, c’est un bordel !

La lapine du bègue qui part en vacances

C’est l’histoire d’un bègue qui part en vacances. Avant de partir, il confie sa lapine à l’une de ses amies.

En rentrant de vacances, il va rechercher sa lapine, et tombe sur le mari de son amie. Celui-ci, client assidu d’un bordel du quartier, vient d’attraper une chaude pisse carabinée.
– Sa-salut ! ça-ça va ?
– Oh ben, à peu près. Et toi ?
– Oh b-b-ben ça-ça va. Dis, t’as ma la-lapine ?
– Oui, mais comment tu le sais ?
– B-ben, je l’ai re-refilée à ta-ta femme avant d’pa-partir.

Jeannot lapin au bordel

– Tu sais, dit la Maman Lapin au papa Lapin, Jeannot est maintenant un vrai grand lapin. Tu devrais l’emmener au bordel, parce que sinon il va finir par se taper ses sœurs !
– T’as raison ! dit le père Lapin.

Il prend donc son fils avec lui, et tous les deux, ils vont au lupanar. Et avant d’entrer dans ze big terrier ou toutes les lapines sont en train d’attendre les clients-lapins, le père Lapin dit à son fiston Lapin :
– J’t’recommande surtout d’être poli. D’abord tu dis : « bonjour madame ». Et quand t’as fini ton affaire, tu dis : « merci madame ». T’as bien compris ?

Alors Jeannot Lapin détale en quatrième vitesse dans la direction de la première lapine et on entend sa voix saccadée :
– Bonjour madame, merci madame, bonjour madame, merci madame, bonjour madame, merci madame, bonjour madame, merci madame, bonjour madame, merci madame, bonjour papa, merci papa, oh… pardon papa !

La vieille dame, son petit-fils et la maison close

C’est une vieille dame qui fait ses courses tout en promenant son petit-fils. Elle passe rue Saint-Denis mais juste avant le magasin dans lequel elle veut se rendre, il y a une maison close. Son petit fils lui demande :
– Mamie, qu’est-ce qui se passe, là ? Qu’est-ce qu’elles font toutes ces dames ?
– Rien du tout ! Elles discutent ! Elles ne font rien du tout !

Mais le petit-fils est quand même intrigué et le lendemain, il repose la question :
– Mamie, qu’est-ce qu’elles faisaient, les dames, devant la maison ?
– Rien du tout ! Je te l’ai déjà dit, rien, elles discutaient !

Le petit-fils insiste :
– Mais Mamie, qu’est-ce…
– Bon, je vais te le dire : c’est une maison… une maison où l’on fabrique les femmes !

L’après-midi, le petit garçon va se promener et quand il revient, sa grand-mère lui demande :
– Alors, tu t’es bien amusé ?
– Bah tu sais, Mamie, je suis allé dans la maison : je suis rentré et j’ai regardé comment ils fabriquaient les femmes ! Il y avait justement un monsieur qui était en train de faire une dame, mais il n’avait pas fini. Quand je suis arrivé, il était en train de faire le trou !