blague berger allemand

Un chien pour ma belle-mère

Le propriétaire d’une maison de campagne débarque chez son voisin, lui aussi propriétaire d’une grande maison et d’une immense propriété.
– Bonjour voisin, je venais pour vous dire que depuis deux jours que ma belle-mère est à la maison, votre berger allemand a déjà sauté la clôture et l’a mordue 3 fois !
– Vraiment ? Je ne savais pas, fait l’autre navré, nous allons le laisser enfermé dans son chenil tout le temps nécessaire alors.
– Non, non, au contraire, répond le gendre. Je voulais vous demander si vous ne vouliez pas me le revendre.

La blague des couilles de l’inspectrice

Un maître-chien fait équipe avec une jeune inspectrice.

Leur mission du jour est de patrouiller dans le quartier chaud de la ville en compagnie de Rintintin, le berger allemand. Ils se baladent depuis quelques minutes, lorsque l’inspectrice dit :
« Ah ça m’embête tu sais, j’étais à la bourre ce matin, et j’ai oublié de prendre des serviettes périodiques. Le problème, c’est que les anglais ne vont pas tarder à débarquer et j’aimerais autant pas que ça soit sur mon pantalon ! On va devoir retourner au poste, pour que je les prenne au vestiaire ! »

Le maître-chien répond :
« Bah, inutile de retourner au poste. Tu n’as qu’à te laisser sniffer par Rintintin et tu vas voir, dans dix minutes, il est de retour avec ta boite de Vania. »

L’inspectrice se met à rigoler de la proposition saugrenue, et elle se laisse convaincre. Le maître-chien prend alors Rintintin par le collier et lui fait sniffer l’entrejambe de l’inspectrice. Le berger allemand colle sa truffe contre le pantalon, sniffant les odeurs et reniflant bruyamment, puis, une dizaine de secondes plus tard, ses oreilles se redressent, il place sa truffe dans le vent, et en un éclair, il file seul vers le poste de police.

Cinq minutes plus tard, pas de Rintintin… Dix minutes plus tard, toujours pas de Rintintin…

Quinze minutes plus tard, les deux policiers commencent à paniquer. Ils se disent qu’ils ont fait une grosse connerie, surtout lorsqu’ils entendent des sirènes de police qui semblent se rapprocher ?

Les sirènes sont maintenant à deux pâtés de maison, et voici soudain Rintintin qui arrive en courant, suivi de près par douze voitures de police ! Rintintin tient quelque chose dans la gueule ; mais ce ne sont pas les Vania de l’inspectrice, non, non : ce sont les couilles du commissaire !

Un féroce chien jaune

Le maître d’un superbe berger allemand sirote tranquillement son whisky au comptoir d’un café, son chien allongé à ses pieds. Visiblement il est très fier de sa bête. Soudain parait un autre client qui traîne après lui un grand chien jaune efflanqué. Sitôt entré dans le bar, le chien jaune échappe à son maître et se précipite sur le berger allemand. Le combat est bref mais sanglant. Après 15 secondes, le berger allemand se retrouve les quatre pattes en l’air, le ventre ouvert. Quel carnage !

Dépité, le maître du berger allemand se dit qu’il n’est pas question de laisser ce crime impuni et donne rendez vous à l’homme au chien jaune pour un nouveau duel à mort. C’est ainsi que nous le retrouvons le lendemain matin, flanqué de deux énormes pit-bulls, l’écume aux lèvres et sevrés de viande depuis huit jours. L’homme au chien jaune parait de nouveau, il lâche son chien et ….. c’est de nouveau l’affrontement. 30 secondes après, les deux pit-bulls gisent la gorge ouverte, aussi morts que si un rouleau compresseur leur était passé dessus. Quelle boucherie !

Le pauvre type est fou de rage et exige un autre combat. Il veut la mort de ce misérable chien jaune ! Il l’obtiendra par tous les moyens ! c’est juré, promis, craché …

Le lendemain donc, il se ramène avec une meute de dobermans enragés. Lorsque le chien jaune arrive, c’est « Massacre à la tronçonneuse » … et au bout de 45 secondes …… tous les dobermans sont crevés, éventrés, égorgés; Quelle horreur !

« Mais merde, c’est pas vrai, il est exceptionnel votre clébard ! j’en ai jamais vu de pareil », finit par s’exclamer le type.

« Ouais, pas mal », dit l’homme au chien jaune. « Et là encore c’est rien: si vous l’aviez vu avant ….. quand il avait encore sa crinière ! »